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    Piece jointe :


    Avec les Mycelium Shoe, la mode et le design se mettent à vos pieds

    Définitivement, 2018 sera l’année des chaussures imprimées en 3D. Il y a quelques mois, Adidas et Reebok se lançaient dans l’aventure avec de nouveaux modèles de baskets faisant appel à la fabrication additive.

    Cette fois-ci, nous quittons l’univers du sportwear pour nous pencher sur une paire de chaussures à mi-chemin entre l’objet design et l’accessoire de mode, les Mycelium Shoe.

    Les Mycelium Shoe : un modèle réservé à quelques « happy few »

    Avec leur aspect futuriste, les Mycelium Shoe ne s’adressent clairement pas au plus grand nombre et c’est sans surprise que derrière ce concept innovant se cache une agence de design, plus qu’une maison de mode.

    Mycelium Shoe
    Les Mycelium Shoe – Crédit : Ica & Kostika

    Imaginées par Ica & Kostika, ses créateurs nous assurent que malgré les apparences, ces chaussures sont particulièrement confortables. En effet, ces dernières seront imprimées sur mesure après que leurs futurs possesseurs aient réalisé plusieurs clichés de leurs pieds via une application qui en assurera la modélisation 3D.

    Cependant, ne vous attendez pas à voir les Mycelium Shoe envahirent nos rues. Seulement 5 paires seront produites. Nous avons donc ici affaire à un véritable objet de collection.

    A quand des modèles plus casuals ?

    Le concept des Mycelium Shoe n’est pas sans rappeler certains modèles expérimentaux d’United Nude. En 2015, la marque hollandaise avait en effet collaboré avec de grands noms de l’architecture pour présenter une série de chaussures imprimées en 3D.

    Mycelium Shoe
    Modèle « Ammonite » par Fernando Romero – Crédit : United Nude

    Cependant, on se demande encore pourquoi les marques de chaussures plus conventionnelles ne se penchent pas plus sur l’impression 3D afin de nous proposer des modèles plus « portables ». Certes, cette technologie demande une grande maitrise de la modélisation 3D, compétence plus rependues chez les architectes et les designers que chez les stylistes, mais ses applications sont à même d’intéresser le plus grand nombre.

    L’avenir nous dira si l’impression 3D finira par se démocratiser dans l’univers de la chaussure, mais de notre côté on croise les doigts !

     

    La Bête à Pois : rencontre avec une créatrice pleine de (bijoux) fantaisies !

    Vous le savez, chez Click’n 3D, nous passons beaucoup de temps sur Etsy à la recherche de créateurs exploitant tout le potentiel qu’offre l’impression 3D. En devenant plus accessible, la fabrication additive a en effet permis à bon nombre d’artistes de donner vie à leurs créations.

    Aussi Etsy regorge de nouvelles marques qui chamboulent les codes de la mode en proposant des designs originaux et abordables.

    Au cours de nos pérégrinations sur la plateforme N°1 du DIY, nous sommes tombés sous le charme des bijoux 3D printed de « La Bête à Pois ». Notre curiosité naturelle nous a ainsi poussés à contacter sa créatrice qui a accepté de répondre à nos questions et nous faire découvrir son univers.

    Rencontre avec une passionnée de mode…

    « La Bête à Pois »
    Sabrina Lamirand, créatrice de « La Bête à Pois ».

    Créée en 2014, « La Bête à Pois » propose des accessoires faits main tout droit sortis de l’esprit de Sabrina Lamirand. Styliste de métier et grande amatrice d’art, le bijou est pour elle un accessoire incontournable du dressing féminin. Sa rencontre avec l’impression 3D fut une véritable révélation…

    Comment est née « La Bête à Pois » ?

    Sabrina : Je crée des bijoux depuis de nombreuses années et il y a 2 ans, j’ai découvert l’impression 3D. Je n’étais pas forcément familière avec la modélisation 3D mais j’ai tout de suite eu le sentiment que cette technologie me permettrait d’aller plus loin.

    À force de bidouillage, de tests et de tuto, j’ai fini par maitriser la modélisation 3D et j’ai enfin pu donner naissance à « La Bête à Pois ».

    Cette marque est le reflet de mes deux passions : l’Art et la Mode.

    « La Bête à Pois »
    Boucles d’oreilles « Gatsby » – Un modèle aux influences Art Déco.

    En effet, l’Art a toujours été au cœur de mes études. C’est pourquoi une grande partie de mes créations sont empreintes d’un esprit Art Déco, mouvement que j’affectionne tout particulièrement pour son mélange de formes géométriques et d’éléments organiques.

    L’art contemporain et l’architecture sont également des univers qui m’attirent. Ma collection « Mainland » est une bonne illustration de ces influences.

    « La Bête à Pois ».
    Collier « Mainland »

    Pourquoi l’impression 3D ?

    Sabrina : L’impression 3D est un formidable terrain de jeux pour les créateurs. En effet, avec les matériaux traditionnels, je n’arrivais pas forcément à matérialiser mes idées. Aujourd’hui, je peux modéliser mes croquis en peu de temps et immédiatement tester leur faisabilité et leur rendu IRL.

    Actuellement, j’utilise la technologie FDM (dépôt de fil) pour mes créations en PLA (fil plastique). Le rendu est particulièrement intéressant, les couleurs sont vives et la texture qu’offre ce type d’impression est originale.

    « La Bête à Pois »
    Une parrure aux allures de Corail – 100% Vegan !

    L’autre grand avantage est la légèreté du produit fini. Cela me permet de créer des pièces imposantes, comme des boucles d’oreilles, qui ne pèsent que quelques grammes, offrant ainsi un véritable confort au porté.

    Quels sont vos projets pour le futur ?

    Sabrina : À l’avenir je souhaite vraiment mixer mes différents savoir-faire, à savoir la maitrise des matériaux traditionnels et l’impression 3D. En effet, en créant « La Bête à Pois », je me suis un peu éloignée des techniques traditionnelles pour me concentrer sur des bijoux majoritairement 3D printed.

    Je pense qu’une fusion de ces deux univers permet de créer des accessoires particulièrement originaux. J’ai d’ailleurs expérimenté ce concept avec ma création « Le Maxi Collier », un bijou qui m’a demandé plusieurs jours de travail et d’expérimentation pour atteindre l’harmonie que je recherchais.

    « La Bête à Pois »
    « Le Maxi Collier » – Mélange d’impression 3D et de techniques traditionnelles.

    Je me penche également sur les nouvelles possibilités qu’offre l’impression 3D, comme l’impression métal que je n’ai pas encore eu l’occasion de tester mais qui pourrait m’offrir de nombreux axes créatifs.

     

    Merci à Sabrina de nous avoir accordé cette entrevue.

     

    « La Bête à Pois » sera présente au salon MACHINARIUM de Valencienne le 26 Octobre prochain. D’ici là, nous vous invitons chaudement à découvrir sa boutique Etsy et à parcourir sa page Facebook.

    2018, l’année des sneakers imprimées en 3D ?

    L’introduction de semelles imprimées en 3D pourrait bien révolutionner l’univers de la chaussure de sport. Pour preuve, les plus grandes marques de baskets se sont penchées sur la question en 2018 …

    Les semelles imprimées en 3D pas à pas …

    L’idée de concevoir des semelles imprimées en 3D ne date pas de 2018. En effet, dès 2013, Nike avait annoncé maitriser cette nouvelle technologie. Mais cela n’avait pas dépassé le stade du prototype.

    Fin 2015, New Balance emboita le pas à la marque à la virgule en annonçant la commercialisation de la première basket à semelles 3D printed. Conçues en partenariat avec 3D Systems et le studio Nervous-System , ces chaussures promettaient un confort optimal et des finitions sur-mesure. Là encore, un simple effet d’annonce. Le modèle n’aura été proposé qu’en 44 exemplaires en 2016.

    semelles imprimées en 3D
    Les New Balance Zante Generate – Crédit : New Balance

    Pourtant, cette technologie reste prometteuse : production sur-mesure, confort, technicité, légèreté et rapidité de production. La révolution est en marche…

    2018 : Les grandes marques sautent le pas …

    Ce sera finalement la marque Under Armour qui sera la première à se lancer dans la commercialisation à grande échelle d’un modèle 3D printed avec ses « Under Armour Futurist ». Vendues 300$, nous sommes encore loin d’un modèle à la portée de toutes les bourses.

    semelles imprimées en 3D
    Les Under Armour Futurist – Crédit : Under Armour

    De son côté Reebok a fini par dégainer une version plus « casual » de ses Liquid Speed (un modèle proposé en très petite série en 2016) avec les Liquid Floatride Run. La marque assure que cette nouvelle technologie, au-delà des performances techniques, va lui permettre de relocaliser une partie de sa production aux États-Unis et de réduire de 20% le poids de ses chaussures.

    semelles imprimées en 3D
    Les Liquid Floatride Run – Crédit : Reebok

    Enfin, en juin dernier, Adidas annonce le lancement de l’Alphaedge 4D. Premier modèle imprimé en 3D de la marque, l’équipementier compte bien en écouler 100 000 paires d’ici la fin de l’année. Là encore, compte tenu des couts élevés de production, ces baskets nouvelle génération sont vendues 3 fois plus chères que la plupart des autres modèles de la marque aux 3 bandes.

    semelles imprimées en 3D
    Les Alphaedge 4D – Crédit : Adidas

    Adidas estime cependant pouvoir réduire ces coûts d’ici 5 à 7 ans et proposer des semelles sur-mesure dans un futur proche.

    L’impression 3D rentre donc peu à peu dans nos dressings, et ce n’est que le début. Nike serait d’ailleurs en train de plancher sur des baskets 100% 3D printed…

    3DSicilyMosaic : Quand l’art et la technologie se rencontrent

    Marier mosaïque traditionnelle et impression 3D semble être un pari risqué. Et pourtant c’est le défi qu’ont relevé l’artiste Francesca Vaglica et l’architecte Rosanna Romano en créant 3DSicilyMosaic, une ligne de bijoux surprenante.

    L’amour de la Sicile en toile de fond …

    Nous vous avions déjà parlé de Rosanna Romano et de son travail au sein d’aRks 3d. Il y a quelques mois, la collection de bikinis imprimés en 3D du duo sicilien avait fait un véritable buzz sur la toile.

    Aujourd’hui, elle se lance dans un nouveau projet en compagnie de Francesca Vaglica, une artiste passionnée de mosaïque. Toute deux férues d’histoire et amoureuses de leur île d’adoption, elles ont décidé de travailler en commun à l’élaboration d’une ligne de bijoux mêlant art et technologie.

    3DSicilyMosaic

    Leur bijoux sont fortement inspirées par les mosaïques byzantines que l’on peut admirer au sein de la Chapelle palatine de Palerme ou de la Cathédrale de Monreale. Et c’est d’ailleurs à Monreale (Italie), dans l’atelier d’Antonina Parisi, que Francesca se forma à l’art de la mosaïque.

    3DSicilyMosaic : une collection de bijoux unique

    En combinant leurs savoir-faire, ces deux membres d’Alab, une association visant à promouvoir l’art et l’artisanat à Palerme, on mit au point des bijoux aux formes organiques et aux couleurs chatoyantes.

    3DSicilyMosaic

    Chaque pièce est assemblée à la main et voit s’entremêler l’antique et le moderne en toute harmonie.  Le contraste entre la mosaïque de verre et les éléments en plastique PLA imprimés en 3D donne un tout à la fois élégant et inattendu.

    La collection 3DSicilyMosaic est d’ores et déjà disponible au showroom d’aRks 3d à Palerme et à l’Atelier de mosaïque d’Antonina Parisi  à Monreale.

    3DSicilyMosaic

    Comme quoi, l’artisanat traditionnel ne devrait pas avoir peur de l’impression 3D, mais au contraire devrait exploiter ce nouveau champ des possibles en intégrant la fabrication additive à leurs créations.

    Stop à la souffrance animale grâce à la fausse fourrure imprimée en 3D

    Cette semaine, Donatella Versace a enfin décidé de bannir la fourrure de ses collections. La maison milanaise emboite ainsi le pas à d’autres grandes maisons telles qu’Armani, Hugo Boss ou encore Gucci.

    A l’heure où l’éthique commence à prendre une place importante dans le monde de la mode, on ne peut que saluer cette initiative qui marque un tournant majeur dans le rapport qu’ont les marques de luxe à la souffrance animale.

    Cette annonce fut l’occasion pour l’équipe de Click’n 3D de se pencher sur les solutions que pourrait apporter l’impression 3D en termes de fourrures synthétiques.

    Vers de la fausse fourrure plus vraie que nature

    L’industrie de la fourrure pèse plus de 35 milliards d’euros. Pour répondre à cette demande croissante, près de 56 millions d’animaux sont abattus chaque année.

    Certes, la fourrure, au-delà de son esthétisme, présentent des caractéristiques techniques intéressantes. En particulier ses propriétés thermiques. Et oui il est vrai qu’actuellement les alternatives synthétiques ne sont pas encore criantes de réalisme.

    Aussi, des chercheurs du département Tangible Media Group de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT) se sont penchés sur la question afin d’apporter une alternative plus satisfaisante.

    L’impression 3D de poils est désormais possible

    Dénommée Cilllia, cette nouvelle technologie d’impression 3D est capable de produire des poils d’une finesse allant jusqu’à 50 microns de diamètre. Le logiciel permettant de programmer l’impression est également en mesure d’assigner à chaque poil des caractéristiques spécifiques, telles que la direction, l’épaisseur et la longueur.

    Pour l’instant, cette technologie a été développée dans l’optique d’une application orientée smart-textile. Plus particulièrement à des capteurs tactiles. Cependant, cette avancée permettrait également d’imprimer de la fausse fourrure écoresponsable.

    Cette fausse fourrure pourrait ainsi reprendre l’ensemble des caractéristiques de la fourrure naturelle, voir même la surpasser. Il ne reste plus qu’à espérer une utilisation à grande échelle de cette nouvelle technologie pour enfin mettre un terme à l’utilisation de fourrure animale.

    Vos bijoux personnalisés et imprimés en 3D, c’est possible avec Ink3D !

    Vous rêvez de créer vos propres bijoux, mais vous ne savez pas par où commencer ? Ink3D vous accompagne …

    Les créateurs de bijoux imprimés en 3D, ce n’est pas  ce qui manque sur la toile. Entre les amateurs de DIY d’Etsy et les jeunes créateurs comme Jean-Louis Casquette, le choix tend à se diversifier. Mais que faire lorsque l’on souhaite porter ses propres créations sur-mesure et que l’on ne maitrise ni la modélisation, ni l’impression 3D ?

    C’est la question que s’est posé Clovis Bernier, le fondateur d’Ink3D, bien décidé à remédier à ce problème. L’équipe de Click’n 3D est ainsi allé à la rencontre de ce jeune entrepreneur passionné de mode et d’impression 3D.

    Rencontre avec le fondateur d’Ink3D

    C’est durant son stage auprès de l’équipe de Jean-Louis Casquette que Clovis se familiarise avec la modélisation 3D. Conscient du potentiel de la fabrication additive, et alors qu’il termine son Master en commerce international au sein de la Paris School of Business, il lance Ink3D en 2017.

    Quel est le concept d’Ink3D ?

    Clovis : Avec Ink3D je veux permettre au plus grand nombre de donner vie à leurs idées. A partir d’un simple dessin, d’une photo, d’un logo ou tout autre visuel, je suis en mesure de modéliser un motif et de l’imprimer en 3D. Ces derniers peuvent alors être montés en bracelet ou en pendentif. Pour ce qui est des matériaux, les clients peuvent choisir entre le laiton, l’argent et le plaqué or ou or rose.

    Ink3D
    Pendentif Ink3D réalisé à partir d’une photo de tatouage

    Quelles sont les demandes les plus courantes en termes de personnalisation ?

    Clovis : En lançant le projet Ink3D, je m’étais plutôt orienté vers des modélisations à partir de photos de tatouage, comme vous pouvez le voir sur le compte Instagram de la marque. Chemin faisant, j’ai eu de plus en plus de demande pour l’impression de logo et de dessins. Beaucoup de nos clients font appel à nos services afin d’offrir un cadeau original à leurs proches pour un tarif abordable (entre 40€ et 70€  suivant les matériaux).

    As-tu d’autres projets dans l’impression 3D ?

    Clovis : Étant un grand amateur de fitness et de muscu, j’ai constaté qu’il n’y avait pas vraiment de marque de bijoux qui s’adressait à cette communauté. C’est pourquoi j’ai créé ma propre marque avec un ami. Avec Breloque de Salle, nous avons repris le concept de l’impression 3D métal, mais cette fois-ci nous proposons nos propres designs et le succès est au rendez-vous.

    Ink3D
    Bracelet « Alphonse la Fonte » – Une création de Breloque de Salle

    Merci à Clovis de nous avoir accordé cette entrevue.

    Si vous souhaitez créer votre propre bijoux, vous pouvez contacter Ink3D via leur site web, leur page Facebook ou Instagram ou bien directement par mail à hello@ink3d.co. Nous vous invitons également à découvrir les collections de Breloque de Salle sur le site dédié.

    EgoEra : L’imprimante 3D préférée des beauty-addicts !

    Si vous aussi vous rêvez de transformer vos jus de fruits préférés en masques de beauté, « l’imprimante 3D » EgoEra est faite pour vous …

    egoera

    Les cosmétiques fait-maison ont le vent en poupe et on ne compte plus le nombre de vidéos de recettes DIY qui font chaque jour leur apparition sur les réseaux sociaux.

    En parallèle, un soin tout droit venu de Corée du Sud, les sheet masks (comprenez les masques tissus) cartonnent dans les parfumeries du monde entier.

    Le concept, appliquer sur son visage un masque en cellulose imbibé d’un sérum adapté à votre peau (soin hydratant, detoxifiant, apaisant etc.). Passé le temps de pose (environ 20 minutes), il suffit de le jeter. Et vous voilà avec une peau éclatante de beauté.

    Mais quel rapport avec l’impression 3D me direz-vous ?

    EgoEra : l’imprimante au service de votre peau !

    EgoEra est une petite révolution qui combine ces deux tendances.

    Il vous suffit d’insérer du jus de fruits ou de légumes dans la machine et d’y ajouter un cachet de collagène marin. L’imprimante va alors mélanger et chauffer le mélange qui sera ensuite extrudé dans un moule en forme de masque, le tout en seulement 5 minutes. Il ne vous reste ensuite qu’à profiter de votre soin sur-mesure.

    Ainsi, certaines utilisatrices de l’EgoEra l’on testées avec du vin rouge, pour ses bienfaits antioxydants, d’autres avec du jus de fraise pour ses vertus anti-âge…

    Les possibilités sont infinies puisque vous pouvez décider soit de préparer votre propre jus avec les fruits et légumes de votre choix, soit de prendre un jus tout prêt, bio de préférence, en fonction de l’effet recherché.

    Cette imprimante, aussi ludique que pratique, a fait un véritable buzz sur Internet, tant est si bien qu’elle est actuellement en rupture de stock. Cependant, des modèles similaires sont proposés par d’autres fabricants pour environ 60 euros.

    Une excellente idée cadeau pour toute les beauty-addicts !

    Quand Louis Vuitton passe à l’impression 3D

    A défaut de se lancer dans la conception de vêtements et d’accessoires 3D printed, le géant du luxe français a eu recours à  la fabrication additive pour créer son dernier pop-up store…

    L’innovation au service de la mode

    Il n’aura fallu que deux semaines à l’équipe d’OMUS pour réaliser la nouvelle boutique éphémère de Louis Vuitton au centre commercial Westfield de Sydney. Une tâche loin d’être de tout repos.

    Crédit photo : Andy McCourt

    Spécialisés dans la conception de projets 3D printed aux formats XXL, les australiens de l’agence OMUS (On demand Manufactured Unique Solutions) ont été choisis par Louis Vuitton pour concevoir la toute première boutique 100% imprimée en 3D de l’histoire du retail.

    Toujours à l’affut des dernières tendances, le groupe LVMH souhaite cette fois-ci innover dans le domaine du merchandising en proposant une expérience boutique inédite. Le passage à l’impression 3D s’imposait donc comme une évidence.

    Le pop-up store de tous les records

    Le pop-up store a été imprimé en 48 morceaux qui ont ensuite été assemblés puis enveloppés d’un film argenté Avery Supreme pour donner à la structure aux formes organiques un effet miroir de toute beauté.

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    Crédit photo : OMUS

    Pas moins de 2 imprimantes Massivit 3D, un fabricant d’imprimantes 3D grands formats basé en Israël, ont été nécessaires à la réalisation de cette boutique installée en seulement 3 jours.

    La création de cette structure de 900 kg, que beaucoup pensaient irréalisable, fut l’occasion pour OMUS et Massivit 3D de pousser leur technologie dans ses derniers retranchements. Une preuve encore que l’impression 3D ne connait pas de limite et offre des solutions répondant aux exigences des marques les plus prestigieuses.

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    Crédit photo : OMUS

    Le pop-up store fermera ses portes le 18 Décembre, mais il est fort à parier que la marque renouvellera prochainement l’expérience.

    En tout cas chez Click’n 3D on croise les doigts pour voir ce petit bijou débarquer dans l’hexagone.

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    Danit Peleg invente le shopping 3D printed

    La mode 3D printed descend enfin des podiums pour s’adresser au grand public. La créatrice Danit Peleg, pionnière dans ce domaine, permet de personnaliser en ligne sa future garde-robe imprimée en 3D.

    Nous avions évoqué à plusieurs reprises les prouesses de certains designers qui se sont lancés dans l’impression 3D de vêtements. Que ce soit Nervous System et leurs pièces exposées dans les plus grands musées d’art contemporain ou bien Masaharu Ono au travers de sa marque Free-D, plusieurs projets ont vu le jour, mais rien ne s’adressant vraiment au plus grand nombre.

    Danit Peleg et sa marque éponyme, ont donc décidé de remédier à cela en proposant la première veste 100% imprimée en 3D et personnalisable en ligne.

    Focus sur une créatrice engagée

    Danit Peleg n’est pas inconnue des amateurs de FashTech (comprendre « nouvelles technologies au service de la mode »). En effet, elle intervient régulièrement lors de conférences à guichets fermés pour parler de l’intérêt de l’impression 3D dans le domaine de l’habillement.

    Diplômée en 2015 de l’Université de Shenkar (Israël) en Ingénierie et Design, c’est au cours de sa formation qu’elle fit ses premiers pas dans le monde de la fabrication additive. Dès 2016, on lui confie la réalisation des costumes 3D printed des danseurs participants à la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques.

    S’en suit la création de sa marque et de ses premières collections imprimées en 3D en partenariat avec Gerber Technology.

    La première veste 3D printed personnalisable

    Des milliers d’heures de tests ont étés nécessaires pour donner naissance à « The Birth of Venus », la première collection de Danit Peleg. Changement de technologie d’impression, de matériaux etc, ces efforts auront portés leurs fruits et c’est ainsi que la marque a pu proposer son premier modèle grand public, la veste « Imagine ».

    Danit Peleg

    Proposée sur leur boutique en ligne, la veste est entièrement personnalisable. Taille, couleur, doublure et même flocage, les possibilités sont infinies. Une cabine d’essayage virtuelle est également disponible via une application mobile développée par Nettelo.

    Imprimées en plusieurs morceaux, la veste est ensuite assemblée à la main et doublée en tissu pour un porté plus confortable.

    Danit Peleg

    Seul 100 exemplaires seront réalisés à un prix unitaire d’environ 1300 euros. Certes, cela n’est pas à la portée de toutes les bourses mais se justifie par la centaine d’heures de travail nécessaire à la confection de chaque veste.

    La créatrice ne souhaite pas s’arrêter là et planche déjà sur une nouvelle collection, qui nous l’espérons sera plus abordable.

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