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    Piece jointe :


    L’impression 3D prend son envol au salon du Bourget

    L’édition 2019 du Salon de l’aéronautique du Bourget a ouvert ses portes le 19 juin dernier. Parmi les innovations présentées, l’impression 3D est loin d’être passée inaperçue. En effet, une bonne trentaine d’exposants proposants des solutions de fabrication additive pour cette industrie de pointe étaient présents.

    Cela fait déjà plusieurs année que l’impression 3D s’est invitée dans nos avions. Mais jusqu’alors, ces pièces (plastiques ou métalliques) étaient plutôt réservées aux parties « invisibles » des avions : moteurs, fuselage etc.

    Mais c’était sans compter sur Stratasys, un des leaders mondiaux de l’impression 3D, qui a profité de ce salon pour proposer des solutions 3D printed visant à équiper l’intérieur des cabines.

    Des pièces imprimées en 3D dans nos avions : une solution miracle ?

    L’impression 3D est une technologie particulièrement intéressante pour les constructeurs et les équipementiers car elle permet de fabriquer des pièces aux structures alvéolées, tout aussi résistantes que des pièces traditionnelles, mais bien plus légères. Et vous le savez, le moindre kilo compte dans l’aéronautique.

    Aussi Stratasys, propose désormais de créer toute les pièces autour des sièges et un bon nombre d’accessoires à l’intérieur des cabines.

    salon du bourget
    Crédit photo : Stratasys

    Au-delà de la problématique de poids, l’impression 3D permet également de solutionner des problématiques de coûts. La production des pièces revient moins chère, mais surtout leur maintenance est nettement plus simple. Inutile de commander et de stocker un grand nombre de pièces de rechanges, la fabrication pouvant être assurée à la demande.

    D’un point de vue esthétique, Eric Bredin, directeur général de Stratasys, annonce que les pièces imprimées en 3D n’auront plus nécessairement un aspect strié, ce qui demandait des étapes de finitions complémentaires. Il est désormais possible de varier l’aspect des surfaces, d’appliquer des peintures spéciales ou de créer des effets d’imitation. L’objectif étant de permettre à ces nouveaux éléments de se fondre dans le décor.

    L’impression 3D semble donc ne présenter que des avantages. D’autant plus qu’en réduisant le poids des avions, on réduit la consommation de kérosène, les rendant au passage moins polluants.

    Si en plus cela permettait de réduire le prix des billets alors là, tout le monde serait gagnant.

    Peut-on reconstruire Notre-Dame grâce à l’impression 3D ?

    Le 15 avril dernier, un des joyaux de l’architecture française était ravagé par un terrible incendie. L’émotion fut vive, que ce soit en France ou à l’étranger, et les dons ont rapidement afflué pour aider à la reconstruction de Notre-Dame.

    De nombreux architectes se penchent déjà sur ce chantier qui pourrait prendre plusieurs décennies. Dans le même temps, le président Emmanuel Macron annonce que « nous rebâtirons la cathédrale plus belle encore et je veux que ce soit achevé d’ici cinq années ». Souhait partagé par l’actuelle maire de Paris, Anne Hidalgo, qui déclare : « en 2024, Paris accueillera le monde à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques. Il nous faut tout faire pour que la cathédrale Notre-Dame ait retrouvé toute sa splendeur à cette occasion ».

    Au dire des experts, un délai si court relève du fantasme. Pourtant, la société hollandaise Concr3de, une entreprise spécialisée dans l’impression 3D en pierre, est persuadée du contraire.

    « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière » : Ou pas !

    Pour ce qui est de la restauration de monuments historiques, Concr3de n’en est pas à son coup d’essai. En effet, l’entreprise s’était déjà illustrée en fabricant une réplique de l’arc monumental de Palmyre (Syrie), détruite en 2015 par ISIS.

    Aussi ils proposent de redonner une nouvelle jeunesse à notre cathédrale bien aimée en imprimant en 3D les éléments en pierre détruits (voûtes, statues et ornements) à partir des cendres de l’édifice.

    Pour ce faire, ils comptent utiliser une technologie d’impression mêlant une poudre fine, obtenue à partir de cendres et de calcaire broyé, et une encre non-organique. Évidemment aucun plastique ou résine à l’horizon. L’objectif étant d’avoir un rendu le plus fidèle possible à l’original.

    Concr3de
    Crédit: Concr3de

    Pour joindre le geste à la parole, les ingénieurs de Concr3de ont d’ores et déjà imprimés la réplique d’une gargouille de Notre-Dame (le Stryge de Viollet-le-Duc pour être précis). Il ne leur aura fallu que 24 heures pour donner vie à cette statue d’un mètre, et ce pour un budget oscillant entre 2500 et 5000 euros. Soit 5 à 10 fois moins cher qu’en utilisant les techniques traditionnelles.

    Alors certes les puristes pourraient être quelques peu réfractaires à l’utilisation de la fabrication additive pour reconstruire un édifice centenaire, mais il faut parfois savoir vivre avec son temps …

    Crayon Creatures transforme les dessins de vos enfants en figurines imprimées en 3D

    Si vous avez des enfants, il est fort à parier que la porte de votre frigo est recouverte de leurs magnifiques œuvres d’arts gribouillées au crayon ou au feutre.

    Comment ne pas être jaloux de leur créativité capable de donner naissance à des monstres improbables, des animaux composites ou autres personnages anthropomorphes.

    Cette galerie d’art improvisée dans votre cuisine ne suffit pas à honorer le talent de votre progéniture. Il est temps de donner une nouvelle dimension à ces chef-d’œuvres !

    Crayon Creatures donne vie à vos dessins

    Le designer Bernat Cuni, fondateur de Crayon creatures, était arrivé aux mêmes conclusions il y a quelques années lorsque sa fille lui a demandé de créer des figurines à partir de ses dessins.

    crayon creature
    Crédit : Crayon Creatures

    Expert en modélisation 3D, il ne lui a pas fallu bien longtemps avant de mettre au point une technique lui permettant de passer de la 2D à la 3D. Souhaitant mettre son savoir-faire au service des parents du monde entier, il a alors crée Crayon Creatures.

    Pour commander votre propre figurine personnalisée, rien de plus simple. Il suffit de télécharger un scan du dessin de votre enfant sur le site internet de Crayon Creatures et de vous délester d’environ 215€ pour que la magie opère.

    crayon creature
    Crédit : Crayon Creatures

    A partir du dessin en 2D, Bernat Cuni va réaliser une modélisation 3D qu’il va ensuite imprimer en couleur. Il vous faudra alors patienter 3 semaines avant de recevoir votre figurine de 10 cm.

    Le résultat est vraiment surprenant. Le moindre coup de crayon y est retranscrit et le dessin est reproduit sur les deux faces de façon symétrique. Seul hic, ces figurines ne sont pas des jouets. Il est donc déconseillé de les laisser entre les mains de vos enfants. Mais vous pourrez les exposer fièrement sur vos étagères !

    Peut-on hacker des smartphones avec l’impression 3D ?

    Depuis l’introduction de la reconnaissance faciale sur nos précieux smartphones, nous n’avons eu de cesse de tester les limites de cette technologie dite infaillible. Une équipe du magazine Forbes a trouvé une solution imparable : l’impression 3D.

    La sécurité des smartphones : une sacrée prise de tête

    Il y a quelques années, lorsque les constructeurs de smartphones avaient ajouté le verrouillage par empreinte digitale sur nos téléphones, nous étions persuadés d’avoir atteint le summum de la sécurité. Et puis on s’est rendu compte que ce n’était pas si difficile de falsifier des empreintes.

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    Crédit : Thomas Brewster

    Soucieux de nous aider à protéger au maximum nos données personnelles (mouai …) les fabricants nous alors proposé la reconnaissance faciale. Cette fois-ci on pouvait dormir sur nos deux oreilles.

    Oui mais voilà, c’était sans compter sur l’acharnement d’une équipe de journalistes bien décidée à trouver une faille dans le système.

    Pour ce faire, ils ont eu la brillante idée d’utiliser l’impression 3D. Après avoir enregistré son charmant minois sur différents modèles de téléphones (sous Android et sous iOS), le journaliste à l’initiative du projet a alors fait fabriquer une reproduction de sa tête en 3D.

    Il s’est donc rendu chez Backface à Birmingham (Royaume-Uni), une société spécialisée dans l’impression 3D de figurines (un peu comme les mini-moi), pour se faire tirer le portrait.

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    Crédit : Forbes

    L’entreprise dispose en effet d’un studio équipé de 50 caméras capables de générer des modélisations 3D haute-fidélité. Une fois la tête imprimée et les derniers détails peints, l’expérience pouvait commencer.

    Et là, le choc ! Sur la majorité des téléphones sous Android la feinte fonctionne. Les téléphones de la firme à la pomme restent par quant à eux impénétrables.

    Afin d’avoir quelques explications, les journalistes ont alors contacté les constructeurs. Les retours sont unanimes : utilisée seule, la reconnaissance faciale n’est pas totalement infaillible. Combinée à la reconnaissance d’iris par contre, plus de soucis. Enfin … pour le moment !

    Un village imprimé en 3D … sur la Lune !

    L’impression 3D et la conquête spatiale, c’est une longue histoire d’amour. En effet, ce n’est pas la première fois que nous évoquons l’importance de la fabrication additive pour l’industrie aérospatiale.

    Que ce soit pour imprimer des pièces détachées dans un environnement zéro gravité, ou bien encore en utilisant l’urine des astronautes pour la transformer en consommable pour imprimantes 3D, la NASA s’est déjà sérieusement penchée sur la question.

    Un homme a emménagé sur la lune …

    Cela va surement vous surprendre, mais l’Agence Spatiale Européenne (ESA) compte bien installer une base permanente sur la lune afin de faciliter l’exploration du système solaire. Compte tenu des coûts exorbitants du transport de matières premières dans le cosmos, environ 10 000 dollars par kilo, la fabrication à la demande s’impose comme une évidence.

    Ainsi, pour construire ce village lunaire, les chercheurs de l’ESA souhaitent opter pour l’impression 3D en utilisant les ressources in-situ comme matériaux de construction. Imprimer des bâtiments n’étant absolument plus de l’ordre du fantasme, comme nous avons pu le voir avec les projets de l’entreprise CONSTRUCTIONS-3D.

    Cependant, l’ESA a opté pour la fusion sur lit de poudre, plutôt que pour la traditionnelle impression 3D par dépôt de couche. Cette technique consiste à faire fondre des couches successives de poudre avec un laser pour obtenir le produit fini plutôt que de l’extruder. Et niveau « laser », les rayons du soleil, une fois focalisés, devraient faire l’affaire.

    Pas sûr que ça marche (sur la lune) …

    Encore une fois, la différence de gravité ainsi que les conditions particulières de l’environnement lunaire (radiations importantes, pluie de micrométéorites …) pourraient nuire à la faisabilité du projet. Mais les chercheurs restent optimistes.

    Espérons seulement qu’une fois installé, ils ne feront pas de mauvaises rencontres. Au final nul ne sait ce qui se trame sur la face cachée de la lune…

    Les athlètes ont eux aussi recours à l’impression 3D

    Lorsque l’on est athlète de haut niveau, le moindre détail compte pour améliorer ses performances. Aussi, les sportifs passent beaucoup de temps à analyser des vidéos de leurs entrainements afin de détecter le moindre petit geste qui pourrait faire toute la différence.

    Fort de ce constat, des chercheurs du MIT ont mis au point un nouvel outil permettant de capter les mouvements des sportifs et de les modéliser en 3D. Dénommé MoSculp, ce nouveau logiciel devrait rapidement séduire les entraineurs les plus exigeants.

    MoSculp : de la 2D vers la 3D

    Imaginez pouvoir décomposer votre lancer ou votre foulée, ou plus stratégiquement ceux de vos adversaires, afin de déterminer le moment clef à l’origine de votre victoire. A force d’entrainement, vous serez probablement capable de le reproduire avec précision et ainsi perfectionner votre jeu.

    C’est exactement ce que font les athlètes de haut niveau, avec pour seul outil, la vidéo. Le problème c’est que la vidéo permet d’obtenir une image en 2 dimensions. Or, nos mouvements sont en 3 dimensions. Difficile donc de capter toutes leurs subtilités sur un écran.

    C’est là la force de l’algorithme de MoSculp. A partir d’une simple vidéo, le logiciel est en mesure de détecter les membres du sujet. Il génère alors un squelette 3D et modélise en continu le mouvement.

    MoSculp réalise ensuite un tracé fluide, une véritable sculpture du mouvement. Il est alors possible d’isoler certains membres pour une étude plus détaillée ou bien encore d’imprimer en 3D cette modélisation.

    Demain, tous traqués ?

    Pour le moment, le logiciel fonctionne mieux sur des mouvements de grandes amplitudes et n’est capable d’analyser qu’une personne à la fois.

    A l’avenir, les chercheurs souhaitent améliorer le système afin de traquer plusieurs personnes en simultané.

    L’objectif serait alors de proposer MoSculp non plus seulement aux sportifs mais également aux morphopsychologues afin qu’ils étudient les interactions interpersonnelles et la dynamique d’équipe.

    Nos comportements pourraient donc être analysés en temps réel afin de comprendre ce que cache notre gestuelle. Un véritable scénario à la Black Mirror ….

    Vers la légalisation des armes à feu imprimées en 3D aux USA ?

    Depuis la commercialisation des premières imprimantes 3D destinées aux particuliers, la peur de voir se répandre des armes à feu imprimées en 3D n’a cessé de croitre. Ce qui semblait relever de la légende urbaine risque bien de devenir une réalité aux États-Unis…

    Le port d’arme aux USA : un droit inaliénable

    Dans un pays qui n’est pas épargné par les fusillades de masse et où près de 12 000 morts par armes à feu ont été recensées en 2017, il est toujours difficile de comprendre pour nous autres européens pourquoi les États-Unis restent à ce point attachés à leur 2ème amendement.

    Pour rappel, ce texte de loi datant de 1791 garantit à tout citoyen américain le droit de porter une arme afin d’assurer la sécurité d’un État libre. Toutefois, le port d’arme reste soumis à certaines réglementations et plus particulièrement à la détention d’un permis. Malgré tout, plus de 30% des américains possèdent au moins une arme.

    Une histoire qui ne date pas d’hier

    De nos jours, plusieurs associations, dont la très célèbre NRA, militent ardemment pour conserver ce droit. C’est également le cas du site à l’origine du polémique actuelle autour des armes à feu imprimées en 3D, Defense Distributed.

    armes à feu imprimées en 3D
    Crédit : Defense Distributed

    En 2012, ce site Internet avait proposé en téléchargement des fichiers permettant d’imprimer en 3D une arme semi-automatique. L’État Américain avait immédiatement réagi en interdisant leur diffusion.

    Bien décidé à donner accès au plus grand nombre à ces fichiers, l’administrateur du site, Cody Wilson, s’était lancé dans un procès de 3 ans pour obtenir gain de cause. Ce qui nous amène à la décision du 29 juin 2018…

    Des armes à feu imprimées en 3D ? No soucy !

    Contre toute attente, la diffusion des fichiers a été approuvée. Ces derniers ont alors été mis légalement à disposition le 1er août.

    Dès le lendemain, les procureurs généraux de 8 États ont porté plainte contre l’administration Trump afin d’obtenir une injonction interdisant la diffusion des fichiers. La mise en ligne des fichiers de la discorde a donc été suspendue jusqu’à une nouvelle audience prévue le 10 août.

    Etonnamment, ni le président Trump, ni la NRA ne soutiennent Cody Wilson. L’association pro-arme rappelant que les armes à feu imprimées en 3D sont indétectables. Par conséquent, leur possession avait été rendue illégale par une loi fédérale de 1988.

    Espérons que ces fichiers n’obtiennent jamais d’autorisation de mise sur le marché, même si d’autres fichiers de la sorte circulent déjà sur le dark web. Une affaire à suivre donc …

    Impression 3D d’armes à feu : un phénomène inquiétant

    Loin d’être une nouveauté, l’impression 3D d’armes à feu ne cesse de prendre de l’ampleur. Face à cette nouvelle menace, les autorités cherchent tant bien que mal une solution. Bien que la France semble pour le moment épargnée, les crimes et délits impliquant des armes imprimées en 3D se multiplient en Europe. C’est ainsi qu’en mai dernier, Europol a organisé une conférence rassemblant plus de 120 professionnels et experts pour se pencher sur cette question délicate.

    Des cas isolés au crime organisé

    Imprimer une arme en 3D est malheureusement une tâche relativement aisée. Entre la facilité d’accès aux imprimantes et la disponibilité de modèles 3D sur Internet, le ticket d’entrée est loin d’être dissuasif. Intraçables et quasi-indétectables, elles ont tout pour séduire les personnes les plus malintentionnées.

    C’est ainsi qu’en 2019, deux personnes ont été abattues en Allemagne avec une arme « fait-maison » par un agresseur féru d’impression 3D. Bien que ce cas reste isolé, le nombre d’ateliers de fabrication illégaux ne cesse d’augmenter. Espagne, Royaume-Uni, Japon, que ce soit pour alimenter le terrorisme ou des délinquants isolés, les autorités mettent régulièrement la main sur d’impressionnants stocks prêts à l’usage.

    impression 3D d’armes à feu
    Petit échantillon de la saisie réalisée en Espagne – Crédits : Police nationale espagnole

    Quels risques pour les « bricoleurs du dimanche »

    Pour ce qui est du droit français, les choses sont claires, seuls les détenteurs d’une licence en cours de validité peuvent détenir et/ou fabriquer une arme. Sans compter que pour enregistrer une arme, cette dernière doit disposer d’un numéro de série, d’un poinçon d’épreuve (attestant de sa fiabilité) et d’éléments de traçabilité. Aussi la conclusion est assez évidente, la fabrication expérimentale d’une arme 3D printed et de ses composants est tout bonnement illégal.

    Bien qu’il n’existe pas de lois universelles, on notera que les mêmes règles s’appliquent dans la plupart des pays européens.

    Au-delà des risques juridiques, il est également bon de souligner que la majorité des armes imprimées en 3D sont loin d’être fiables. En effet, celles intégralement faites de plastique n’ont une portée que de quelques mètres, mais surtout, elles se désintègrent au bout d’une ou deux détonations. Et ça, c’est encore dans les meilleurs des cas. Bien souvent, elles explosent dans les mains de leurs utilisateurs.

    Vous l’aurez compris, imprimer une arme en 3D est clairement une mauvaise idée. Il est bien dommage qu’une technologie aussi formidable que la fabrication additive soit détournée pour ce type d’usage. Espérons juste que cela ne viennent pas ternir sa réputation.