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    Piece jointe :


    Une nouvelle façon de manger « healthy » grâce à l’impression 3D

    L’importance d’une alimentation saine n’est plus à démontrer. Une meilleure alimentation permet de réduire les risques de problèmes cardio-vasculaires, de diabète ou de développer des cellules cancéreuses.

    Aussi, afin d’apporter une solution permettant de contrôler précisément ses apports nutritionnels, les chercheurs de l’entreprise Yissum (Jérusalem) ont mis au point une nouvelle solution d’impression 3D alimentaire qui pourrait bien révolutionner notre rapport à la nourriture.

    Des nano cellules imprimées en 3D dans notre assiette !

    yissumLa technologie développée par Yissum repose sur l’utilisation de la nano cellule, une fibre naturelle comestible et sans calorie. Cette fibre a la particularité de pouvoir être combinée à différents nutriments (protéines, sucres, graisses …) et d’être assemblée de façon à pouvoir contrôler la texture du produit final.

    Il est ainsi possible d’imprimer en 3D des plats totalement personnalisés. En plus de l’impression 3D, le système permet également de cuire, frire ou griller les aliments dans la foulée.

    Vers l’alimentation du futur …

    On peut aisément imaginer l’intérêt d’une telle innovation pour le marché du vegan, du sans-gluten ou bien encore pour les personnes diabétiques et les sportifs.

    L’inquiétude que l’on pourrait avoir face à une cette technologie serait la perte de la dimension «plaisir » de l’alimentation. Cependant l’équipe à l’origine du projet nous garantit que les plats ainsi réalisés sont aussi sains que savoureux.

    Dans tous les cas, cette machine tout en un nous laisse plutôt rêveurs. Pouvoir créer des plats sur-mesure, prêt à être dégustés et avec un parfait contrôle des apports caloriques et nutritionnels… N’importe quelle personne suivant un régime en salive déjà.

    Pour l’instant, aucune annonce n’a été faite quant à la date de mise sur le marché de cette nouvelle solution de food printing, mais les filles de Click’n 3D ont particulièrement hâte de tester cette façon de manger pas comme les autres.

    Dinara Kasko met le design au service de l’impression 3D culinaire

    Basée en Ukraine, la jeune Chef Dinara Kasko s’est rapidement fait un nom dans le monde très fermé de la pâtisserie. Tant et si bien qu’aujourd’hui elle parcourt le monde pour présenter ses créations culinaires et multiplie les collaborations (SoGood Magazine, Pastry magazine).

    Portrait de Dinara Kasko – Crédit photo : Dinara Kasko

    En seulement 3 ans et bien que s’étant mise à la pâtisserie sur le tard, elle cumule plus d’un demi-million de followers sur Instagram et fait un véritable buzz sur la toile.

    Mais comment a-t-elle réussi un tel tour de force ?

    La rencontre de deux passions, fruit d’un parcours atypique

    Après un brillant passage par l’Université d’Architecture de Kharkiv, Dinara Kasko a tout d’abord poursuivi une carrière d’architecte / designer et modéliste 3D.

    En parallèle, elle se prend de passion pour la cuisine, et plus particulièrement la pâtisserie.

    Ce hobby prenant de plus en plus de place dans son quotidien, elle multiplie les expérimentations en se lançant dans la création de moules en silicone. Sa maitrise des outils de modélisations 3D va alors révolutionner sa conception de la pâtisserie.

    Après avoir modélisé sa création, cette dernière est imprimée en 3D. La forme ainsi obtenue est alors coulée dans de la silionne afin d’obtenir un moule. Une approche ingénieuse de l’impression 3D culinaire.

    Geometrical kinetic tarts – Une création de Dinara Kasko en collaboration avec l’artiste José Margulis pour SoGood Magazine – Crédit photo : Dinara Kasko

     

    Ainsi, de nouvelles formes et volumes s’offrent à elle, donnant une dimension architecturale à ses gâteaux.

    Le design culinaire à la portée de tous

    Désireuse de partager son savoir-faire unique, Dinara Kasko participe régulièrement à des workshops dans des grandes écoles de cuisines et lors de salons professionnels.

    Cherry Cake – Une création de Dinara Kasko pour SoGood Magazine – Crédit photo : Dinara Kasko

     

    Pour les novices, elle propose également les moules en silicone et recettes de ses créations les plus populaires sur sa boutique en ligne.

    De quoi changer du traditionnel gâteau au chocolat. Car, comme elle le rappelle dans la bio de son site Internet, l’apparence est tout aussi importante que le goût.

    Chocolatiers d’Art & Compagnies : l’impression 3D au service de l’artisanat

    L’impression 3D chocolat est un sujet qui nous tient particulièrement à cœur chez Click’n 3D. Aujourd’hui, nous découvrons une nouvelle approche de l’impression 3D culinaire à travers l’entreprise Chocolatiers d’Art & Compagnies…

    Dans la vallée de la Drôme, à Aouste-sur-Sye, Paul Keruel et Adrien Vieillet font la paire.

    Le premier, issu d’une famille d’épiciers bretons avait pris sa retraite de chocolatier émérite (il a été 5 fois ruban bleu) avant d’y revenir, avec plaisir. Le second, se définit comme un forgeron des temps modernes. Entendez par là que c’est un spécialiste de la fabrication additive.

    Ensemble, ils ont créé l’entreprise Chocolatiers d’Art & Compagnies afin de proposer des tablettes de chocolat de grand cru, complètement personnalisées grâce à l’impression de moules imprimés en 3D.

    Chocolatiers d’Art & Compagnies

    Tout a commencé lorsque Paul fit la rencontre d’Adrien et de ses imprimantes 3D dans un Fab Lab. Le chocolatier était alors à la recherche d’une machine qui puisse déposer du chocolat. Cependant, bien que des machines soient déjà disponibles sur le marché, Paul ne voyait pas comment elles pouvaient être rentables –  » Il aurait fallu en effet compter 4 à 5 heures pour imprimer une tablette en chocolat, vendue seulement 5 € ».

    Adrien suggéra alors d’utiliser l’imprimante 3D pour imprimer des moules. L’association de deux expertises, de deux passions s’est faite à cet instant.

    Un projet qui a trouvé son public

    Après deux ans et demi de travail, les deux hommes sont maintenant capables de proposer une offre totalement personnalisable. Sur une face on mise sur la communication, sur l’autre sur la gourmandise. D’un côté on peut voir apparaître n’importe quel dessin, logo ou graphisme soigneusement élaboré avec des spécialistes, de l’autre, un chocolat savoureux, auquel sont ajoutés des fruits secs et autres douceurs selon les commandes. Évidemment, tout est bio et local. Et pour Paul, hors de question d’ajouter des matières grasses animales à ces grands crus de cacao. Ce serait tout bonnement un sacrilège.

     

    Chocolatiers d’Art & Compagnies
    Exemple de réalisation. Crédit : Chocolatiers d’Art & Compagnies

    Et la demande est là. En premier lieu, ce sont les entreprises, lassées des “clefs USB fabriquées en Chine qui ne fonctionnent plus au bout de 10 jours” qui cherchent des idées originales et des produits de qualité pour leurs cadeaux de fin d’année. Avec les Chocolatiers d’Art & Compagnies, elles ont là en effet l’opportunité d’offrir quelque chose de local et haut de gamme, une tradition dépoussiérée grâce à la technologie. Pour Adrien, c’est très simple, cette joyeuse collaboration est une nouvelle vie pour l’artisanat. “Il faut voir l’outil 3D comme un outil à la réalisation et à la création artisanale.”

     

    Des esquimaux imprimés en 3D ? C’est possible avec Pixsweet

    L’impression 3D culinaire est par essence éphémère, mais Pixsweet va encore plus loin en vous proposant des glaces imprimées en 3D 100% personnalisables. Aussi beau que bon, nous avons trouvé les esquimaux les plus instagrammables du moment !

    Pixsweet régale l’artiste qui sommeille en vous

    Artiste renommé et grand amateur d’impression 3D, Janne Kyttanen souhaitait révolutionner un grand classique de nos après-midis ensoleillés : l’esquimau.

    Il crée alors Pixsweet, une plateforme qui permet à tout à chacun de créer sa glace 3D printed à partir de l’image de son choix. Aucun besoin de maitriser la modélisation 3D, le site s’occupe de tout.

    Pixsweet
    Crédit : Pixsweet

    Derrière cette idée saugrenue, l’objectif de Janne Kyttanen est avant tout de proposer une alternative aux produits des géants de l’agroalimentaire et de valoriser les producteurs locaux, tels que Mom & Pop Shop, qui lui fournissent la matière première. Le tout en offrant la possibilité aux consommateurs de révéler leurs potentiels créatifs.

    Comment ça marche ?

    Pour créer votre glace personnalisée, rien de plus simple. Il suffit de se connecter au site de la marque et de saisir un mot clef. La plateforme va alors balayer les web (Twitter, Facebook, Instagram, Pinterest) pour trouver des images correspondantes à votre recherche. Vous avez également la possibilité de télécharger vos propres photos.

    Une fois le visuel choisi, le logiciel développé par Pixsweet va le modéliser en 3D et lancer la création du moule. Tout ça en seulement 2 secondes, un record dans cette industrie.

    Pixsweet
    Crédit : Pixsweet

    Il ne vous reste plus qu’à choisir votre parfum parmi une gamme de saveurs vegan inédites, telles que « Sweet Strawberry Lemonade » ou « Juicy Watermelon Citrus », et l’affaire est dans le sac.

    Seul bémol, la marque ne livre pour l’instant qu’en Californie et le minimum de commande est de 100 exemplaires (à 5$ l’unité). Mais le créateur nous promet de réduire ce quota dans les mois à venir et d’élargir la zone de livraison.

    Ceci étant, ce projet est particulièrement séduisant dans le cadre d’une opération promotionnelle ou d’une soirée évènementiel. Et évidemment pour se la pêter sur Instagram !

    La Foodini : l’imprimante 3D alimentaire arrive en France

    L’impression 3D alimentaire fait le buzz depuis plusieurs mois. Nouvelle entrante sur le marché, la Foodini a de quoi séduire. Simple d’utilisation, ludique et polyvalente, l’équipe de Click’n 3D à eut la chance de la tester en exclusivité.

    La Foodini enfin commercialisée

    Il aura fallu quatre ans à l’équipe de Natural Machines (Barcelone), pour finaliser son imprimante alimentaire pas comme les autres. Polyvalente et design, la Foodini a déjà séduit de grands chefs comme Paco Pérez du restaurant Miramar.

    Foodini
    Création du chef Henrik Poulsen – Crédit : Natural Machines

    Les équipes de Food Ink. (les restaurants éphémères 100% impression 3D) ont d’ailleurs troqué leurs imprimantes byFlow pour la Foodini qui offre plus de possibilités.

    Foodini
    Création Food Ink. – Crédit : Natural Machines

    Concrètement, la Foodini vous permet d’imprimer avec n’importe quel aliment pâteux : pâte à cookie, houmous, guacamole, purée, viande hachée, chocolat …  Cerise sur le gâteau, la machine dispose de 5 buses qui peuvent contenir des aliments différents et ainsi se relayer pendant l’impression pour vous offrir une recette complète.

    Première présentation de la machine en France

    C’est dans le cadre des MERCR3DIS de la 3D organisés par nos amis de F3DF à Lyon que notre équipe a pu rencontrer Victor Delgado, ingénieur chez Natural Machines. L’occasion de poser toutes nos questions sur cette imprimante bien mystérieuse.

    Foodini
    La Foodini – Crédit : Natural Machines

    Le rendez-vous était donné dans les ateliers des chocolats Voisin, la marque se penchant sérieusement sur l’impression 3D chocolat.

    Premier constat, la machine est particulièrement esthétique et peu encombrante. Elle se contrôle via une tablette intégrée à la façade mais peut également être connectée à un ordinateur en WIFI.

    L’interface est ergonomique et intuitive, c’est d’ailleurs elle l’objet de toutes les attentions. En effet, avec la Foodini, pas besoin de se plonger dans des paramétrages complexes pour lancer une impression. Le logiciel embarqué répertorie de nombreux d’ingrédients ce qui lui permet d’adapter automatiquement la température et le mode d’impression. En fonction de la matière première plusieurs buses sont disponibles. Ces dernières sont d’ailleurs très faciles à nettoyer, ce qui est un avantage non négligeable.

    En plus des ingrédients, le logiciel comprend également un grand nombre de modèles 3D prêt à être imprimés et offre également un mode édition qui permet de créer ses propres designs (2D ½).

    Enfin, la machine peut imprimer en une seule fois de petites séries, sans intervention humaine, à partir du moment où plusieurs motifs peuvent tenir sur la surface d’impression. Un précieux gain de temps.

    Foodini
    Pizza 3D printed – Crédit : Natural Machines

    La marque ayant fait beaucoup parler d’elle pour ses pizzas imprimées en 3D, Victor nous annonce que la prochaine version de la Foodini permettra également de cuire les aliments dans la foulée.

    A qui s’adresse la Foodini

    Actuellement, Natural Machines propose son imprimante aux restaurateurs et aux traiteurs. Mais le secteur de la santé est également intéressé par la machine. En effet, en ayant un meilleur contrôle sur la quantité de nutriments délivrés et en jouant sur les formes, couleurs et textures des aliments, le personnel soignant peut traiter plus efficacement les patients ayant des difficultés à s’alimenter tout en réduisant leur lassitude. Aussi l’University Hospital – Utah vient de faire l’acquisition de plusieurs Foodini.

    Néanmoins, moyennant 4000 euros, les particuliers peuvent aussi s’offrir cette machine qui pourra fièrement trôner dans la cuisine des cordons bleus les plus créatifs.

    Foodini
    Plat de Guacamole par Food Ink. – Crédit : Natural Machines

    En France, Click’n 3D – service d’impression 3D, vient de faire l’acquisition d’une Foodini. L’entreprise compte travailler en partenariat avec des traiteurs et des pâtissiers, principalement dans le domaine de l’évènementiel.

    Nous avons questionné à plusieurs reprises l’intérêt de l’impression 3D alimentaire. Il semblerait qu’avec la Foodini des business models et des domaines d’applications innovants puissent voir le jour.

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    Smart Gastronomy Lab : l’impression 3D chocolat prend du galon !

    Ce n’est pas la première fois que l’on évoque les imprimantes 3D chocolat sur Click’n 3D. Mais un nouvel entrant, le Smart Gastronomy Lab a particulièrement retenu notre attention. L’équipe de Click’n 3D est partie mener l’enquête en Belgique et a fait une découverte étonnante.

    Le chocolat ce n’est pas simplement délicieux … c’est de la science !

    L’imprimante 3D chocolat… Une arlésienne ?

    Il y a quelques temps déjà nous vous parlions de la Bocusini, l’imprimante alimentaire qui nous promettait de pouvoir imprimer tout type de préparations d’un claquement de doigts grâce à ses cartouches prêtes à l’emploi. En septembre dernier la marque allemande lançait d’ailleurs, Bocusini Choco, des consommables qui permettent, je vous le donne en mille, d’imprimer avec du chocolat.

    De leur côté, les espagnols de Natural Machines (la fameuse Foodini) et les Britanniques de Choc Edge (avec la Choc Creator) s’étaient également illustrés dans le domaine.

    Il semblerait que le chocolat soit au cœur des problématiques des fabricants d’imprimantes alimentaires. Et l’on comprend aisément pourquoi. Le chocolat fait partie de notre quotidien et la créativité cacaotière rassemble des milliers de fans lors du célèbre défilé de mode du Salon du Chocolat.

    Aussi, proposer une machine qui permettrait de créer des modèles uniques, principalement à destination des organisateurs d’évènementiels et des chocolatiers trouverait facilement échos chez les grands gourmands que nous sommes.

    Ceci étant dit, vous n’avez certainement jamais vu sur le marché de chocolats 3D printed. Et pourquoi me diriez-vous ?

    Comparatif des différentes imprimantes 3D chocolat - Smart Gastronomy Lab a nettement une longueur d'avance
    Comparatif des différentes solutions d’impression 3D chocolats

    Et bien aussi alléchantes soient elles, les machines précédemment évoquées rencontraient un problème commun : la matière première. En effet, ces fabricants se sont plus penchés sur les aspects techniques que sur les consommables. Or, le chocolat est loin d’avoir les mêmes propriétés que le plastique.

    Gaëtan Richard - Scientific Manager de SMG - en pleine démonstration
    Gaëtan Richard – Scientific Manager de SGL – en pleine démonstration

    Ce dernier doit être préparé selon une recette bien précise et suivre des courbes de températures spécifiques pour conserver sa brillance et son cassant à l’impression. Savoir-faire que les Belges du Smart Gastronomy Lab sont parvenus à maitriser

    Smart Gastronomy Lab : la science au service de l’alimentation de demain

    L’équipe de Click’n 3D s’est donc rendu à Gembloux Agro-Bio-Tech pour rencontrer l’équipe du Smart Gastronomy Lab et mieux comprendre les enjeux de l’impression 3D en chocolat.

    Scientifiques, chefs et développeurs économique conjuguent leurs expertises au sein de ce Living Lab afin de construire l’alimentation de demain. Évidemment, leur travail ne se limite pas à l’impression alimentaire. C’est pourquoi nous avons souhaité savoir comment leur été venue l’idée de l’impression 3D en chocolat.

    «  L’objectif du Smart Gastronomy Lab étant de faire naître des projets pluridisciplinaires, l’impression alimentaire s’est imposée comme une évidence. L’ensemble des profils du Living Lab pouvaient apporter leur pierre à l’édifice. Quant au chocolat, au-delà de l’intérêt économique dans un pays qui a vu naitre les plus grands chocolatiers, c’est une matrice aux propriétés particulièrement challengeantes » nous explique Dorothée Goffin directrice du projet.

    Plus d’un an de recherche et développement ont été nécessaires pour maitriser pleinement l’impression chocolat. Après quoi le Smart Gastronomy Lab a fait le tour des salons (DIGITEC, Horeca Expo, Tropisme festival, Milano Expo …) pour présenter leur concept.

    Le succès ayant été au rendez-vous, le Smart Gastronomy Lab a monté une start-up, la « Miam Factory », afin de mettre leur technologie et leur savoir-faire au service des professionnels,

    Modélisation, recette, production et même packaging, la « Miam Factory » accompagne les chocolatiers de A à Z dans la conception de leurs projets 3D printed.

    Service qui a déjà su convaincre de grands noms de chocolats, comme Galler, qui leur a fait appel à la « Miam Factory » afin de concevoir des structures en chocolat pour les fêtes.

    Smart Gastronomy Lab
    Création Smart Gastronomy Lab pour Galler

    A l’avenir, la start-up souhaite installer des unités de productions dans des zones stratégiques afin de réduire les problématiques de transports et également équiper les professionnels de machines autonomes connectées (le paramétrage étant géré à distance par la  « Miam Factory »).

    smart gastronomy lab

    Fort de leur succès, le Smart Gastronomy Lab ne compte s’en arrêter là et planche déjà sur de nouvelles matrices pour leur imprimante 3D alimentaire. Une affaire à suivre donc …

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    Mixologie et Impression 3D : un cocktail surprenant !

    Un étudiant autrichien a mis au point la première imprimante 3D utilisant du liquide pour donner une toute nouvelle dimension à vos cocktails. Le résultat est épatant.

    On se calme, l’imprimante 3D qui remplacera les barmen, ce n’est pas pour demain !

    Baptisé « PRINT A DRINK », l’imprimante 3D pour cocktail de Benjamin Greime est née entre les murs de l’University of Arts and Design de Linz. Simple projet scolaire à la base, il avait été demandé aux étudiants de plancher sur un concept innovant mêlant robotique et nourriture. Après une longue phase de recherches et de nombreux essais, le premier prototype était prêt.

    Sûr du potentiel de sa machine, Benjamin Greime frappe à la porte de Creative Region (un organisme visant à promouvoir l’innovation technologique dans la région de Linz), afin de trouver un financement pour la mise aux points de plusieurs prototypes. Une fois son chèque en poche, il s’envole alors pour le Brésil afin de présenter « PRINT A DRINK » au São Paulo Design Weekend de 2015.

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    Le succès est au rendez-vous et il se lance dans l’industrialisation de son imprimante (selon le site web de l’entreprise, la commercialisation ne devrait plus tarder)

    Comment ça marche ?

    Les  prouesses de « PRINT A DRINK » ont été rendues possibles grâce au robot KUKA LBR iiwa qui permet de réaliser des tâches particulièrement minutieuses. Pour réaliser les motifs au cœur de la boisson (préalablement épaissie), le bras articulé du robot va injecter goutte par goutte un liquide huileux selon un pattern prédéfini. Le motif en 3D se retrouve donc comme suspendu dans le verre pour un résultat du plus bel effet.

    A quoi ça sert ?

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    Comme toute imprimante 3D alimentaire, la cible est une fois de plus les traiteurs travaillant dans l’évènementiel. On imagine très bien un banquet corporate où les cocktails de bienvenus se verraient ornés du logo de l’entreprise. Ou bien encore lors d’un vin d’honneur avec le nom des mariés.

    Bref, ce n’est pas demain que votre bar préféré va s’équiper d’une telle machine. Quant au prix de vente, il n’est pas encore annoncé.

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    L’usine à bonbons « magiques » débarque …

    Créer les friandises de ses rêves c’est enfin possible grâce à « Magic Candy Factory », l’imprimante 3D à bonbons 100% végan.

    Ce n’est pas la première fois que nous vous parlons d’une imprimante 3D capable de réaliser des bonbons. La Bocusini, par exemple, peut imprimer avec du bubble gum, mais ce n’est pas là sa seule fonction.

    magiccandy
    La magicienne en chef Melissa Snover et Dylan Lauren de « Dylan’s Candy Bar » (la 1ère chaine de magasins à proposer la « Magic Candy Factory Experience » aux USA). Crédit photo : Andrew Toth/Getty pour Dylan’s Candy Bar

    Cette fois-ci, avec la « Magic Candy Factory », les allemands de la marque de friandises 100% végan « Katjes », nous proposent une imprimante 3D dédiée à la confection de bonbons et le business model qui va avec !

    Comment ça marche ?

    Rien de nouveau sous le soleil, la « Magic Candy Factory » fonctionne comme la plupart des imprimantes 3D alimentaires. Des seringues / extrudeuses contenant de la pâte de type « gummy bear » sont introduites dans la machine qui va légèrement chauffer la préparation afin de la rendre plus liquide. Puis le bras mécanique s’active et réalise plusieurs superpositions de pâte afin d’obtenir le motif souhaité. L’imprimante a d’ailleurs été conçue par Printrbot.

    Le véritable intérêt de la machine est plutôt son interface de commande, vous pouvez d’ailleurs la tester en ligne sur le site de la marque.

    En effet, cette jolie machine à la décoration rétro s’accompagne d’une tablette qui vous permet de composer le bonbon de vos rêves. Trois possibilités de design s’offrent alors à vous :

    • Vous pouvez choisir votre bonbon parmi la dizaine de modèles pré-chargés dans l’application (tiens donc, cette pieuvre me rappelle vaguement quelque chose …).
    • Vous pouvez dessiner un motif du bout des doigts dans une interface très « paint like » qui va immédiatement vous présenter le rendu modélisé en 3D de votre création. Il est également possible de charger une photo depuis votre compte Facebook… Pour un rendu pas franchement probant.
    • Ou bien vous pouvez juste faire une « carte de vœux » en saisissant un message court.

    Il vous faudra ensuite choisir parmi les 8 parfums (pomme, citron, mangue, tropical blue …) et les 3 toppings plus magiques les uns que les autres (sour, glitter, fizzy) avant de lancer l’impression.

    "NEW YORK, NY - MAY 19: Candy is seen on display during Dylan's Candy Bar exclusively launches first 3D printed candy in the U.S. with Katjes Magic Candy Factory on May 19, 2016 in New York, New York. (Photo by Andrew Toth/Getty Images for Dylan's Candy Bar)"
    Crédit photo : Andrew Toth/Getty pour Dylan’s Candy Bar

    Si ce n’est pour les modèles pré-chargés, où le rendu est véritablement en 3D, il faut bien reconnaitre que pour le reste on est plus proche d’une 2D ½ que d’autre chose, mais ça semble plutôt amusant à faire. Et c’est le but !

    A quoi ça sert ?

    Encore une fois, le but de la « Magic Candy Factory » n’est pas de se retrouver dans le foyer de tout un chacun mais plutôt d’être présente sur des stands ou des boutiques dans les lieux fréquentés par les familles : centre commerciaux, parcs d’attractions etc.

    poulpe

    Et c’est une idée brillante ! En effet il ne faut que 5 minutes pour imprimer 10 grammes de bonbons avec un prix de départ à 5 euros. Jouer avec le logiciel de conception et regarder la machine créer sous nos yeux ébahis le bonbon de nos rêves est une véritable attraction en soit et il est évident que plus d’un mouflet fera son caprice pour avoir son « Magic Candy ».

    Crédit photo : Paul Aidan Perry
    Crédit photo : Paul Aidan Perry

    Autre point intéressant du concept, la totale transparence sur la composition de la pâte à «gummy bear ». Végan, sans allergène, sans lactose, hallal, kascher et réalisée à partir d’ingrédients naturels, il n’y a plus d’excuse pour ne pas tester ce nouveau délice sucré.

    On vous avait prévenu… C’est Magique !

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    Dites cheeeeeeese …

    Le 12 avril dernier se tenait la seconde édition de la 3D Food Printing Conference à Venlo Pays-Bas.

    En partie organisée par l’équipe de byFLow, ce salon fut l’occasion de mettre à l’honneur les dernières imprimantes 3D alimentaires. Parmi elles la mystérieuse Print Cheese.

    Avec un nom comme ça peut-on vraiment parler de mystère ?

    Je vous l’accorde, il est facile de comprendre que cette imprimante utilise le fromage comme matière première. Ce qui est plus mystérieux c’est son mode de fonctionnement. C’est dans ces moments-là que l’on regrette de ne pas avoir fait le voyage jusqu’à Venlo pour comprendre de quoi il retourne.

    Ah, mais oui l’imprimante à fromage … C’est nouveau ça ?!

    Je vous vois venir, vous pensez évidemment à cette vidéo improbable d’une « imprimante 3D » fonctionnant avec une bombe d’Easy Cheese. Un fail aussi retentissant qu’hilarant. Pour ceux qui auraient loupé la vidéo je vous la remets ici.

    La Print Cheese, elle, semble nettement plus aboutie (pas difficile vous me diriez), et permet donc d’imprimer de petites babioles en fromage. La matière première qu’elle est-elle ? C’est là un autre mystère, on nous évoque le fromage de chèvre, mais dans la vidéo de démonstration on dirait plutôt du Maasdam. Petit rappel, la machine est made in Holland, l’autre pays du fromage …

    J’imagine que la réponse à cette question est dévoilée dans la vidéo suivante, mais je ne parle malheureusement pas néerlandais.

    Ceci étant, il est intéressant de savoir qui se cache derrière ce projet. Et de façon surprenante ce ne sont en rien des geeks ou des techos mais tout simplement une famille à la tête d’une ferme laitière. Leur machine s’adresse aux professionnels de la restauration, ainsi qu’aux exploitants agricoles qui pourraient grâce à cette machine proposer des produits originaux sur les marchés et ainsi réduire les intermédiaires.

    La démonstration nous laisse très bien imaginer ce que pourrait donner des verrines de fromages à l’heure de l’apéro. Un projet à suivre donc !