Demande de devis

    Vous souhaitez nous confier un projet d’impression 3D ?

    Complétez le formulaire ci-dessous pour obtenir une estimation et une étude de faisabilité de votre projet. N’hésitez pas à nous faire part de vos besoins spécifiques. Notre équipe reviendra vers vous dans les 48h.









    Piece jointe :


    Food Ink, le restaurant 100% impression 3D

    Du contenant au contenu, ce restaurant met en application tout le potentiel de l’impression 3D.

    Nous l’évoquions dans un précédent article, l’avenir du Food Printing n’est pas évident, tout du moins dans son application domestique. Cependant nous avions souligné l’intérêt d’un tel procédé pour les restaurateurs, traiteurs et autres pâtissiers pour qui l’impression 3D permet d’innover en termes de visuels et de textures.

    food byflow 3
    Crédit photo byFlow

    Conscient que pour convaincre sa cible BtoB il faut d’ores et déjà acquérir l’adhésion du consommateur final, le fabricant d’imprimantes 3D culinaires byFlow s’associe à un chef étoilé pour ouvrir un restaurant éphémère, Food Ink, qui s’installera dans plusieurs villes internationales comme Dubaï, Séoul, Rome, Paris, Las Vegas, Toronto, Berlin, Singapour…

    food byflow 2
    Crédit photo byFlow

    Avec une première ouverture au Pays-Bas, d’où est originaire byFlow, en avril 2016, c’est tout un concept orienté vers l’impression 3D qui s’ouvre à nous. En effet, au-delà des bons petits plats, une grande partie du mobilier (vaisselle, les vases, les luminaires) aura elle aussi était imprimée par les machines byFlow.

    Mais c’est bon au moins ?

    Il semblerait puisque l’entreprise n’en est pas à son coup essai. L’an dernier au salon 3D Printshow de Londres, elle avait déjà proposé de tester les plats de l’inventif Mateo Blanch chef cuisinier de La Boscana (Lleida, Spain). Ce dernier en avait d’ailleurs profité pour exprimer à quel point l’impression 3D lui avait permis de décupler sa créativité tout en accroissant sa productivité.

    Le public quant à lui avait été particulièrement séduit, tant par la prestation que par le menu. Et c’est surement pour cela qu’il renouvelle l’expérience au sein du projet Food Ink cette année.

    Espérons que cette croisade d’évangélisation au Food Printing portera ses fruits et saura convaincre tant les petits gourmands que nous sommes, que les professionnels de la restauration.

    PancakeBot : A vous la gloire sur Instagram #pancakeart

    Vous rêvez d’avoir des milliers de vues sur YouTube, faire exploser le compteur d’Instagram ou bien encore avoir le Pinterest  #foodporn le plus populaire de la toile ? Problème vous n’avez pas de grands talents culino-artistique … PancakeBot est là pour vous !

    La tendance pancake art envahie nos réseaux sociaux tant et si bien que des marques comme Nutella se sont lancées dans la réalisation de ces petites vidéos virales hyper populaires. Si vous êtes passé à côté de ce nouvel art culinaire, petite piqûre de rappel…

    Le pancake art consiste à créer de jolis visuels dans le fond d’une poêle à frire le tout à l’aide de pâte à crêpes. En jouant sur les épaisseurs et les temps de cuissons, la dite pâte va prendre différentes teintes et ainsi faire apparaitre le chef d’œuvre.

    Tout est parti d’un Youtubeur, Nathan Shields, qui pour faire plaisir à ses enfants s’est lancé dans la réalisation de pancakes en forme d’animaux. Saipancake était né. Conscient du potentiel viral de ses œuvres pancakesques, il se mit alors à filmer ses créations et à les partager sur les réseaux sociaux. Et là : ÉNORME SUCCÈS ! D’autres se mirent alors à l’imiter et le phénomène viral était lancé.

    Oui mais voilà, n’est pas pancake artist qui veut…

    Fort de ce constat, un autre papa bienveillant, Miguel Valenzuela, se lança dans la conception d’une imprimante à Pancake en 2013. Ce premier prototype était conçu à partir de LEGO et n’avait pas pour but d’être commercialisé. Mais une présentation de la machine en 2014 lors du White House Maker Faire changea la donne.

    Campagne Kickstarter à l’appui, Miguel professionnalisa sa machine jusqu’à sa commercialisation en 2016. En plus d’une centaine de designs disponibles sur le site PancakeBot, vous pouvez également créer vos propres motifs grâce au logiciel PancakePainter.

    La machine est proposée à environ 300$ quant aux consommables, il ne vous reste plus qu’à mettre la main à la pâte !

     

    MAJ 15/01/2018 :

     

    Depuis notre article, la presse s’emballe autour de la PancakeBot, tant et si bien que C8 lui a consacré un reportage dans l’émission William à midi (regarder la vidéo, à partir de la minute 54). En parallèle, nos amis de Click’n 3D ont récemment fait l’acquisition de cette petite merveille de l’impression 3D culinaire.

    A quand la vraie bouffe imprimée?

    Impression 3D et alimentation semblent faire bon ménage à en croire le nombre de projets d’imprimantes dédiées…

    Chocolats, bonbons, mignardises et j’en passe, ce ne sont pas les exemples qui manquent mais le constat reste le même : c’est joli, mais à quoi bon. En effet pourquoi se casser la tête à utiliser une imprimante 3D là où de petites mains habiles sont capables d’obtenir un résultat identique en bien moins de temps ?

    En effet, entre la modélisation, la préparation des matières premières et l’impression, on ne peut pas vraiment parler de gain de temps. La constance peut-être ? Certes l’impression 3D permet d’obtenir des séries parfaitement identiques, mais les moules le permettent également. La personnalisation ? Oui c’est là le plus grand intérêt de l’impression 3D, la production en petite série de produits uniques. Imprimer en chocolat le logo de son entreprise pour décorer les cupcakes du pot de départ de Roger se prête parfaitement à l’exercice. Inutile de concevoir un moule, ce qui est relativement onéreux, la production est rapide et on pourra recommencer pour le congé mat’ de Chantal sans problème.

    chocolat3d
    Crédit photo : Smart Gastronomy Lab

    Mais alors à qui s’adressent ces imprimantes 3D ?

    Probablement pas aux particuliers pour l’instant. Bien qu’elles soient simples d’utilisation, les imprimantes 3D alimentaire sont loin d’être aussi indispensables qu’un four à micro-ondes. Par contre, elles trouvent parfaitement leur place dans les cuisines d’un pâtissier ou d’un traiteur pour qui elles peuvent devenir de véritable plus. Encore une fois dans le cadre d’un évènement corporate la mignardise siglée risque de rapidement s’imposer comme un must-have.

    Mais pourquoi êtes-vous si méchant ?

    Parcequeeeeeeeeeeee … Ça va changer ! Oui monsieur, oui madame, demain vous pourrez avoir une imprimante 3D alimentaire dans votre cuisine. Car nous n’en seront plus à l’impression de petites déco mais bel et bien de véritables plats.
    Et l’avenir c’est maintenant avec la Foodini de Natural Machines. Sandwichs, burgers, pizzas, tapas, gâteaux, rien de lui résiste et tout cela dans des tailles « normales ».

    foodini2
    Crédit photo : Natural Machines

    L’imprimante qui cuisine toute seule n’est donc plus un fantasme. Une fois la matière première chargées, Foodini s’occupe de tout … Sauf de la cuisson. Évidemment, niveau healthy ou ragout on passera son chemin, l’imprimante ne peut produire que des plats en couches, donc beaucoup de fromages et de pâte à pain.

    foodini

    Projet lancée grâce à une campagne Kickstarter, la Foodini devrait être proposée d’ici la fin de l’année pour la modique somme de 1000 euros 4000 euros (MAJ le 12/05/2017).

    Ce n’est peut-être pas encore la révolution pour le marmiton, mais c’est déjà un début.

    Enregistrer

    Bocusini, l’imprimante 3D qui vous en fait voir de toutes les couleurs

    Les imprimantes 3D alimentaires sont de plus en plus nombreuses, chacune ayant sa matière première de prédilection : chocolat, pâte à crêpe etc. Bocusini, elle, se révèle beaucoup plus polyvalente …

    Pâte d’amande, fromage, pâté, meringue … Voici un échantillon des aliments que vous allez pouvoir mettre en scène grâce à cette imprimante 3D révolutionnaire.

    La Bocusini est le fruit des recherches de la société Print2taste, une entreprise allemande spécialisée dans la conception d’imprimantes 3D alimentaire et de leurs consommables. Après s’être attaqué au marché du B2B en réalisant des imprimantes à destination de centres médicalisées (nutrition clinique, maisons de retraites etc.) et des traiteurs, Print2taste compte cette fois-ci entrer dans la cuisine de « Monsieur tout-le-monde » avec une imprimante aussi ludique qu’innovante.

    Au delà de l’aspect mécanique de l’impression alimentaire, la grande force de Print2taste est l’élaboration des préparations permettant l’impression 3D d’aliments. Fruit de 20 ans de recherches, l’entreprise mise donc sur la créativité de ses ingénieurs agroalimentaires pour proposer des consommables aussi beaux que bons.

    Mais revenons à l’étonnante Bocusini et ses applications.

    Compacte et simple d’utilisation la Bocusini permet donc d’imprimer des décorations en 3D à partir d’aliments allant de la purée (de fruits ou de légumes) jusqu’à la pâte à cookie en passant par le chocolat, le caramel et la gelée. Les possibilités semblent donc infinies et le résultat épatant.

    Le site de l’imprimante propose en effet de télécharger les modèles 3D de vos futures réalisations et d’acheter les cartouches contenant la matière première optimisée pour l’impression 3D, mais ce n’est pas tout ! Pour les aliments plus périssables, comme la purée de pomme de terre, Bocusini vous donne la recette permettant de cuisiner vous même un consommable pensée pour la construction 3D. Pour ce faire il vous suffit de vous mettre aux fourneaux et de remplir les cartouches de votre machine. Simple et pas cher !

    Vous pouvez également participer à la communauté en envoyant vos propres recettes et modèles 3D, votre imagination ne sera donc pas en reste.

    La Bocusini est disponible en pré-commande sur le site de la marque aux environs de 2000 euros. Certes, nous ne sommes pas prêt d’en voir une dans chaque foyer, cependant il est fort à parier qu’elle saura séduire les pâtisseries de quartier et les petits Bocuse en herbe.