Définitivement, l’impression 3D a su séduire le géant du meuble en kit IKEA. Après avoir mis au point des sièges adaptés aux gamers, la marque suédoise souhaite aujourd’hui utiliser la fabrication additive pour permettre aux personnes à mobilité réduite de profiter de leur mobilier sans contraintes.

Ouvrir une porte, se lever d’un canapé, appuyer sur un bouton. Ces petits gestes du quotidien, on les fait sans réfléchir. IKEA est d’ailleurs connu pour sa capacité à créer des meubles aussi beaux que fonctionnels. Cependant, ces automatismes peuvent devenir de véritables challenges pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Le minimalisme suédois présente tout de même des limites.

Fort de ce constat, la branche israélienne d’IKEA, en partenariat avec les associations Milbat et Access Israel, a lancé le projet « ThisAbles ».

ThisAbles : des petits bouts de plastique qui changent la vie

Derrière ce jeu de mot bien senti (NDLR : disable en anglais signifie à la fois handicapé et hors d’usage) se cache un projet qui, on l’espère, fera des émules chez les fabricants de meubles.

L’objectif est de proposer des extensions aux meubles IKEA les plus populaires afin de les rendre plus compatibles avec les besoins des personnes à mobilité réduite. Le tout sans faire de compromis avec le style.

Actuellement, une dizaine de produits sont disponibles : des poignets, un rehausseur de canapé, des boutons de lampe, des protèges vitres etc.

Le site de ThisAbles vous propose ainsi de télécharger gratuitement les fichiers de modélisation 3D de ces différents objets afin de les imprimer chez vous.

Ces objets très simples (en deux ou trois parties) ne demandent que peu d’assemblage et des tutos sont également téléchargeables.

Et si vous vous sentez l’âme d’un inventeur, la plateforme met à votre disposition une boîte à idée afin de partager vos concepts.

Avec ThisAbles, IKEA met en lumière un problème et apporte un début de solution. Il est fort à parier que d’autres marques lui emboiteront le pas, pour le bonheur de tous.

Depuis plusieurs années déjà, l’impression 3D béton est sur toutes les lèvres. Nous vous avions déjà évoqué l’entreprise Winsun à l’origine de plusieurs constructions à Dubai et en Chine ou bien encore du projet homed de l’agence de design Framlab.

Mais jusqu’à aujourd’hui ces projets n’avaient pas forcément dépassé le stade de concept ou de prototype.

Néanmoins, la plupart des acteurs du secteur de l’impression 3D béton se sont penchés sur l’intérêt de ce type de constructions dans le cadre humanitaire. C’était d’ailleurs l’objectif premier des français de CONSTRUCTIONS-3D que nous avions rencontrés en 2017.

Et comme on est rarement seul à avoir une bonne idée, les américains d’ICON en partenariat avec l’ONG New Story sont bien décidés à construire le premier village imprimé en 3D en 2019.

Des maisons construites en seulement 48h

La startup ICON avait déjà fait parler d’elle en 2018 en construisant une maison de 35m² imprimée en 3D à Austin Texas, et ce en seulement 48 heures. Pour ce faire, ils avaient utilisé leur imprimante 3D béton : la Vulcan.

Ce premier essai leur avait permis de tester les limites de cette technologie et avait soulevé le problème de la solidité des bâtiments imprimés en béton. Aussi la startup a mis au point un nouveau type de béton offrant une meilleure résistance aux intempéries et vient de réaliser une levée de fond de 9 millions de dollars pour mettre au point la Vulcan 2 et ainsi se lancer dans un projet de grande ampleur.

Et c’est ici que le partenariat avec New Story entre en jeu. Depuis 2014, cette ONG a construit pas moins de 850 maisons à Haiti, en Bolivie, au Mexique et au Salvador. Cependant, ces petites maisons faites de parpaing et de tôles prennent 15 jours à sortir de terre et coûtent environ 6000 $.

Avec l’imprimante d’ICON, ces coûts tomberaient à 4000 $. Autre avantage de la Vulcan, les matériaux utilisés peuvent être sourcés localement et la machine, qui peut se brancher sur secteur, dispose d’un générateur électrique. Indispensable dans certaines zones sinistrées.

L’ONG compte également former les locaux à la construction de ces hébergements et ainsi stimuler l’économie locale. Leur but est aujourd’hui de construire une centaine de maisons au Salvador.

Pour donner vie à ce projet ambitieux, New Story a mis en place une campagne de don qui a d’ores et déjà récolté près de 90 000 $, l’objectif étant d’atteindre les 400 000 $ d’ici 6 mois. Aussi, si ce projet vous intéresse n’hésitez pas à les soutenir en cliquant ici.

Après une première édition en 2017 consacrée à l’impression 3D et un deuxième opus sur l’histoire du code numérique, le laboratoire annuel de la création et de l’innovation, « Mutations / Créations », revient au Centre Pompidou du 20 février au 15 avril 2019 pour un troisième cycle centré sur la biotechnologie.

Un nouveau terrain de jeu pour les artistes …

Intitulée « la fabrique du vivant » cette troisième édition met en avant les œuvres d’une cinquantaine d’artistes exploitant les biotechnologies dans leurs créations. Pour faire simple, la biotechnologie consiste en l’application de la science et de la technologie à des organismes vivants (merci l’OCDE pour la définition).

Elle comprend les biomatériaux, fabriqués à partir d’algues, de mycélium de champignon, de bactéries, etc., ainsi que la biofabrication. Aussi, les biotechnologies permettent de concevoir des objets durables et biodégradables. Et qui dit nouveaux matériaux dit créations innovantes.

Ainsi, plusieurs pièces de l’exposition faisant appel à la bio-impression 3D ont particulièrement retenu notre attention …

Impression 3D champignon ?

Spécialement conçue pour cette exposition, la Mycelium chair est, comme son nom l’indique, une chaise imprimée en 3D réalisée à partir de mycélium de champignon. Imaginée par les néerlandais du Studio Klarenbeek & Dros, pionniers dans l’impression 3D de mycélium, cette chaise vivante démontre l’efficacité de cette nouvelle matière dans la conception d’objets du quotidien.

La naissance du Semi-Humain !

Âmes sensibles s’abstenir. Avec ses Semi-Human Vase, le designer chinois Hongjie Yang ouvre la boîte de pandore en proposant trois vases réalisés à partir de cellules animales ou humaines implantées sur une structure en plastique végétal 3D printed. Volontairement dérangeants, ces objets « semi-humains » ont pour objectifs de questionner le matérialisme.

Le clou du spectacle …

Pièce phare de l’exposition, H.O.R.T.U.S. XL Astaxanthin.g, est le fruit de la collaboration entre des architectes, des designers et des laboratoires universitaires. Ludique, cette imposante structure imprimée en 3D va évoluer tout au long de l’exposition. En effet, chaque visiteur est invité à remplir les alvéoles d’un biogel à base d’algue qui, sous l’effet de la photosynthèse, va produire de l’oxygène. Une vision esthétique d’un procédé qui pourrait un jour s’avérer inévitable si nous ne mettons pas fin à la déforestation.

Bien d’autres œuvres imprimées en 3D vous attendent, comme des vases imprimées en bioplastique d’algue ou bien encore une structure mêlant impression 3D et toiles d’araignées. Ce sera à vous de les découvrir jusqu’au 15 avril 2019 !

Plus d’infos sur le site de Centre Pompidou.

Le salon Machinarium s’est déroulé le 26 octobre dernier à Valenciennes, l’occasion pour l’équipe de Click’n 3D d’aller à la rencontre de jeunes créateurs passionnés d’impression 3D.  C’est ainsi que notre chemin a croisé celui du designer Samuel Blin qui venait présenter son nouveau projet : l’Estampillerie. Un concept innovant qui devrait séduire les amateurs de décoration d’intérieur …

Fédérer les savoir-faire pour créer l’unique…

Designer industriel de métier, Samuel Blin s’est familiarisé avec l’impression 3D durant ses années passées au sein de l’agence dB innovative. Véritable passionné de mobilier, il vient de sauter le pas de l’entreprenariat pour monter l’Estampillerie, une plateforme collaborative dédiée à la création de meubles sur-mesure.

L’objectif est de permettre à chacun de créer sa propre version des meubles présentés sur la plateforme. A mi-chemin entre le mouvement Maker et la culture DIY, le site propose actuellement 3 projets : un tabouret, une étagère et un porte-manteau. Petite originalité qui fait toute la différence, ces projets mêlent différents savoir-faire : l’impression 3D, évidemment, mais aussi de l’artisanat plus traditionnel comme la couture et la menuiserie.

Ainsi, il est possible de télécharger gratuitement des kits de conceptions comprenant fichiers 3D, patrons de coutures et plans de fabrications. Le tout accompagné de tutoriels. Il ne reste plus qu’à laisser parler sa créativité pour donner vie à une pièce unique.

Encore faut-il être doué de ses mains …

N’étant pas tous des MacGyver en puissance, Samuel Blin a déjà pensé aux prochaines évolutions de sa plateforme. En effet, la V2 de l’Estampillerie vous permettra de personnaliser en ligne vos futurs meubles et d’être mis en relation avec un réseau de partenaires maitrisant les savoir-faire nécessaires à leur production.

D’autres maker pourront également proposer leurs projets sur le site, ou bien apporter des améliorations à ceux déjà présents.

L’échange et le partage étant au cœur de ce projet, il est fort à parier qu’une communauté créative va rapidement se construire autour de l’Estampillerie.

L’Estampillerie sera présente au salon Maker Faire de Paris les 23-24 et 25 Novembre 2018. D’ici là, nous vous invitons chaudement à découvrir le site internet à parcourir la page Facebook.

Avec près de 2 milliards d’adeptes de jeux vidéo à travers le monde, le marché qui entoure l’univers du gaming est en pleine expansion. Au-delà de la qualité de l’équipement multimédia, le confort des joueurs influe également sur leurs performances. C’est pourquoi IKEA, en partenariat avec Area Academy et UNYQ, se penche sérieusement sur une gamme de mobilier adaptée aux loisirs numériques.

Une passion qui peut faire mal …

Les passionnés de jeux vidéo ont tous fait l’expérience, après plusieurs heures passées devant leurs écrans, de courbatures, de douleurs dorsales ou de nuques raides. Bien souvent, ces problèmes sont liés à leur posture et donc à leur assise. Ainsi, la plupart finissent par opter pour des fauteuils spécialement conçus pour les activités vidéo ludiques. Mais là encore, les meilleurs modèles peuvent être particulièrement onéreux ou bien ne pas s’adapter à la morphologie de l’utilisateur.

Conscient de ces problématiques, IKEA a décidé de proposer des chaises pour gamers entièrement personnalisables. Pour ce faire, le géant suédois s’est entouré d’une véritable dream-team.

Comprendre les besoins des joueurs …

Afin de proposer des solutions en adéquations avec les besoins des joueurs, IKEA a fait appel à Area Academy, une société spécialisée en E-sports. Ces derniers furent à l’origine de plusieurs études dans le domaine et ont une véritable expertise quant aux attentes des gamers en termes de confort et d’ergonomie.

L’objectif du leader du meuble en kit étant d’offrir des sièges sur-mesure adaptés à la morphologie de l’acheteur, le choix de la fabrication additive s’est imposé comme une évidence. C’est pourquoi ils ont fait appel au savoir-faire des équipes d’UNYQ, une entreprise américaine qui s’est illustrée dans l’impression 3D de prothèses médicales et de corsets orthopédiques.

En seulement 9 semaines, cette équipe de choc a été en mesure de proposer un premier prototype de chaise pour gamer imprimée en 3D. Juste à temps pour les IKEA’s Democratic Design Days 2018.

A terme, IKEA souhaite équiper ses magasins de scanners 3D afin d’assurer la modélisation de ses clients et leur offrir la possibilité de personnaliser le design, la couleur et l’ergonomie de leurs chaises.

Mais ce ne sera pas pour tout de suite. Le lancement officiel de cette nouvelle chaise pour gamer à prix cassé n’est prévu que pour 2020…

Le studio Alterfact explore les limites de la poterie en mariant ce savoir-faire millénaire à l’impression 3D. Et le résultat est plutôt bluffant…

L’impression 3D à base d’argile fait définitivement des émules dans la communauté artistique. Nous vous avions déjà parlé du projet « Solid Vibration » du studio Van Broekhoven qui mêlait ondes sonores et impression 3D.

Aujourd’hui, c’est le studio Alterfact qui fera l’objet de toutes nos attentions avec leurs créations dont les images ont fait le tour du web.

La rencontre de deux designers de talent…

Lucile Sciallano et Ben Landau se sont rencontrés sur les bancs de l’Académie de Design d’Eindhoven. Après avoir collaboré sur de nombreux projets, dont la création d’une imprimante 3D, les jeunes diplômés s’envolent pour l’Australie en 2013.

C’est à Melbourne que Lucile Sciallano se prend de passion pour la céramique. Le destin voudra qu’elle emménage à deux pas d’un atelier de céramique, ce qui lui donnera l’occasion de développer sa technique.

Souhaitant pousser les expérimentations sur ce médium en y intégrant l’impression 3D, elle fonde le studio Alterfact avec son partenaire Ben Landau. S’en suit la fabrication d’une imprimante 3D capable d’extruder des boudins de terre glaise de 2 mm d’épaisseur.

Les deux designers, se lancent alors dans la création de poteries aux formes inédites et colorées entre tradition et modernité.

Très actifs sur les réseaux sociaux, le studio Alterfact partage son quotidien sur Instagram avec prêt de 13 000 followers. Et c’est un véritable bonheur pour les yeux.

Une publication partagée par Alterfact (@alterfactstudio) le 2 Mai 2017 à 12 :21 PDT

Ils proposent également une sélection de leurs créations leur boutique en ligne, et ce à prix particulièrement raisonnables.

En parallèle, Lucile Sciallano poursuit la fabrication traditionnelle de céramiques au sein de son studio « La petite fabrique de Brunswick ».

Le problème du mal logement dans les grandes métropoles mondiales n’est pas une nouveauté.  Beaucoup d’associations œuvrent pour apporter des solutions, le plus souvent temporaires, aux sans-abris. Mais peu de projets de grande envergure ont vu le jour.

On se rappelle de l’opération des Enfants de Don Quichotte en 2006 et de leur village de tentes installées le long du Canal Saint Martin (Paris). Dix ans plus tard, il n’est pas rare de croiser quelques-unes de ces tentes ci et là. Une opération qui avait éveillé les consciences mais qui dès l’hiver passé s’était faite oublier.

New-York est également touchée par ce phénomène, car comme toutes les grandes villes, on y trouve peu de nouvelles constructions et surtout peu de logements à destination des moins fortunés. On estime actuellement à 61 000 le nombre de personnes sans-abris dans la grande pomme.

C’est en partant de ce constat que l’agence Framlab, un studio de design et d’architecture basé à NYC et à Oslo, a mis au point le projet Homed.

Homed : Des habitations imprimées en 3D à flanc d’immeubles

L’idée de Framlab est particulièrement innovante : construire des complexes de capsules habitables le long d’immeuble déjà existants. En effet, si il n’y a plus de place au sol pour construire de nouveaux logements pourquoi ne pas tenter une construction à la verticale.

Ces capsules hexagonales en aluminium seraient être fixées le longs de façades sans porte ni fenêtres. L’intérieur de ces capsules serait quant à lui imprimé en 3D à partir de plastique recyclés et ne nécessiterait pas l’ajout de meubles ou d’équipements extérieurs.

Les pods pourraient remplir différentes fonctions : espaces couchages, pièce à vivre, salle de bain. L’agencement de ces espaces étant adapté en fonction des occupants (familles, couples, célibataires …).

Enfin, la façade des pods serait réalisée en « Smart Glass », des fenêtres connectées permettant d’afficher des publicités et créant ainsi une source de revenues complémentaire pour les occupants.

Reste maintenant à savoir si la ville de New-York va autoriser la construction de ces « Homed » qui permettrait enfin d’apporter une solution durable au problème de mal-logement.

Impression 3D et automobile font définitivement bon ménage. Après quelques véhicules expérimentaux imprimés en 3D, c’est au tour de PSA d’intégrer la fabrication additive dans ses chaines de montage.

Avec la DS3 Dark Side edition, la nouvelle marque groupe PSA, DS Automobiles cherche à marquer le coup pour ce modèle de sa gamme premium. Pour ce faire, la marque a opté pour des finitions grands luxes 3D printed. Ainsi ce nouveau modèle intègre dans son habitacle des finitions en titanium imprimées selon un procédé de frittage sélectif par laser. Cette technique d’impression 3D permet d’obtenir un produit fini demandant peu de finitions manuelles et réalisé d’un seul bloc.

Le résultat est particulièrement élégant avec un effet dentelle qui aurait était difficile à reproduire avec des techniques plus traditionnelles. L’impression de ces éléments demande environ 65 heures et est combinée à un traitement manuel pour un fini artisanal.

Avec un véritable souci du détail, DS Automobiles a agrémenté la clef de contact de la DS3 des mêmes finitions en titanium 3D printed. So chic …

Pour les accompagner dans la conception de ces finitions innovantes, DS Automobiles à fait appel aux américains de Divergent 3D. Les spécialistes de l’impression 3D automobile à l’origine de la première super car 3D printed. Particulièrement sensibles aux problématiques de développement durable, le projet DS3 Dark Side edition est leur première collaboration avec une marque française.

Cerise sur le gâteaux, l’extérieur du véhicule a lui aussi été doté d’une finition 3D. Cette innovation technologique, la « 3D Skin », consiste en l’application d’un revêtement granulaire vaporisé en couche fine permettant d’obtenir de motifs en reliefs particulièrement raffinés. Cette technique avait déjà été employée par l’entreprise mais jamais sur des modèles de série.

 Que ce soit dans la mode ou dans l’industrie automobile, l’impression 3D gagne ses lettres de noblesses pour notre plus grand plaisir.

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L’été arrive, et c’est le grand retour des plages, barbecues, glaces et bien d’autres. Pour ne pas perdre une minute de plus, l’équipe Click’n 3D vous a dégoté leur sélection coup de coeur d’objets et accessoires 3D printed made in Etsy !

Pour des biscuits ensoleillés

La chaleur vous donne une folle envie de crèmes glacées, mais votre congélateur est vide ? Ce n’est plus un problème avec ces emporte-pièces glaces, qui en plus d’être super pratiques sont vraiment plus qu’adorables ! Pour environ 15€, 3DCookie Cutter Shop vous rafraichit la vie !  Voir la fiche produit.

Si vous n’avez pas envie de glace mais quand même d’être dans le mood estival, MakeCookies a la solution ! A vous les biscuits 100% summer time . A partir de 6€. Voir la fiche produit.

Pour un look de summer babe

Devenez la reine des soirées barbecues avec cette couronne de fleurs 3D printed. Une création CollectedEdition  vendue environ 100€  Voir la fiche produit.

CollectedEdition a également pensée aux filles plus discrètes avec cette broche de toute beauté ! Environ 125€.  Voir la fiche produit.

Pour des accessoires qui sentent bon le soleil

Votre téléphone aussi se mets au look estival. Avec cette coque Flamingo de chez BitsTailor, vos amis vont rougir rosir de jalousie ! A partir de 39€.  Voir la fiche produit.

Il y a presque 1 an, les Pokémons arrivaient en réalité virtuelle dans nos rues et déclenchaient une véritable hystérie collective. Pour fêter leur un an, pourquoi ne pas les utiliser comme jardinière ? C’est l’idée de Madarakis  qui détourne le célèbre Oddish (Mystherbe pour les frenchies) va surement vous aider à attirer des monstres de poches dans votre jardin (ou pas). A partir de 13€. Voir la fiche produit.

Pour votre prochaine beach party

Lézarder au soleil tout en matant ses séries favorites, c’est désormais possible avec ce porte tablette tentaculaire proposé par LiveFree3D . Environ 19€. Voir la fiche produit.

Les vagues c’est idéal pour surfer mais aussi pour rester organisé. Comment ça me direz-vous ? Et bien grâce à ce range câbles pour écouteurs crée par UrbanoRodriguez  évidemment ! Environ 19€.  Voir la fiche produit.

Pour rester bien hydraté pendant l’été

Le problème avec l’été reste malgré tout la chaleur souvent insupportable qui implique la déshydratation à l’extrême. Même sous la douche, elle vous rattrape et vous ne savez pas quoi faire entre deux shampooings. Sortir boire un verre au risque de glisser ? Rester sous la douche en décidant à pile ou face si vous allez boire l’eau avec laquelle vous vous lavez ? Et bien rassurez vous, SOLIDink3d a la solution avec ce porte-canette de douche. Une petite mousse sous la mousse. Que demande le peuple ! Environ 13€. Voir la fiche produit.

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