Demande de devis

    Vous souhaitez nous confier un projet d’impression 3D ?

    Complétez le formulaire ci-dessous pour obtenir une estimation et une étude de faisabilité de votre projet. N’hésitez pas à nous faire part de vos besoins spécifiques. Notre équipe reviendra vers vous dans les 48h.









    Piece jointe :


    Les semelles orthopédiques passent à l’impression 3D

    Près de 80% des français souffrent du dos. Ce  « mal du siècle » peut être largement soulagé par le port de semelles orthopédiques. Mais ces dernières coûtent cher (environ 150 €) et sont très mal remboursées. L’arrivée de l’impression 3D devrait changer la donne.

    Les semelles orthopédiques, c’est le pied !

    Tensions musculaires, mal de dos, crampes, si ces maux font partis de votre quotidien on a surement déjà dû vous conseiller d’investir dans des semelles orthopédiques.

    En corrigeant votre posture, ces semelles miracles peuvent considérablement améliorer votre quotidien. Mais voilà, elles coutent très cher, environ 150 euros, et sont très mal remboursées (en moyenne 30 euros). Sans compter que leur durée de vie est de seulement 1 an.

    A cela vient s’ajouter des erreurs lors de la production. En effet ces semelles étant réalisées sur-mesure vous devrez vous rendre chez votre podologue pour prendre vos empreintes. Concrètement vous placez votre pied sur un coussin encreur et vous transférez le motif sur une feuille puis direction le laboratoire pour réaliser les semelles.

    On imagine bien qu’avec un système de prise d’empreintes aussi rudimentaire la notion de « sur-mesure » en prend un coup.

    C’était sans compter sur l’arrivée de l’impression 3D dans le domaine.

    L’impression 3D saute à pieds joints dans le quotidien des podologues

    Basée à Montpellier, la start-up EDEN a mis au point après 2 années de R&D un tout nouveau système combinant scanner et imprimante 3D permettant de réaliser des semelles orthopédiques d’une grande précision.

    Dans un premier temps, le podologue équipé du scanner 3D d’EDEN va réaliser un scan du pied du patient en quelques secondes.

    semelles orthopediques impression 3d

    Puis, via le logiciel intégré au scanner, il va pouvoir apporter d’éventuelle modification à la modélisation. Enfin il peut transférer ce fichier à EDEN qui se charge de l’impression 3D.

    Au-delà de la grande précision du système, la solution EDEN permet de réduire le temps de production des semelles. Soit 72h contre 10 jours habituellement. Ce qui entraine évidemment une réduction des coûts.

    Autre avantage, grâce à l’archivage numérique de cette modélisation, votre podologue peut vous faire livrer une nouvelle paire de semelles d’un seul clic. Un vrai plus comparé à la méthode actuelle qui demande de reprendre les empreintes à chaque fois que vous devez recommander des semelles.

    Un meilleur suivi, un meilleur produit et un meilleur prix. La solution EDEN marque un véritable tournant dans l’univers de la podologie. Reste à espérer que le taux d’équipement des praticiens grimpe en flèche. Une affaire à suivre donc …

    Enregistrer

    Payez vos prothèses dentaires 90% moins cher avec l’impression 3D

    Si vous avez déjà été confrontés à ce problème, vous le savez les prothèses dentaires coûtent des fortunes. Mais l’impression 3D est en train de révolutionner le marché …

    Où en sommes-nous de l’impression 3D dentaire ?

    On nous avait annoncé des miracles avec l’introduction de l’impression 3D dans le monde médical. Pour l’instant beaucoup de projets, d’expérimentations, mais nous sommes encore loin d’un déploiement à grande échelle. Sauf dans le dentaire !

    En effet, depuis peu orthodontistes et chirurgiens utilisent des imprimantes 3D pour réaliser des modèles anatomiques et des guides pour l’implantologie. Certaines entreprises comme Impant Educators, se sont d’ailleurs spécialisées dans la formation des dentistes à la modélisation 3D et la fabrication additive. Mais jusqu’alors aucune prothèse dentaire en vue.

    C’était sans compter sur Arfona, concepteur d’imprimantes 3D et de consommables, et Valplast, fabricant de nylon thermoplastique dentaire, qui viennent d’annoncer la première imprimante capable d’imprimer des prothèses dentaires !

    La r.Pod promet de révolutionner le quotidien des dentistes en leur permettant d’imprimer des prothèses amovibles à partir d’une modélisation 3D sans passer par la case laboratoire. Ne vous emballez pas, cela ne concerne que la structure sur laquelle viennent se fixer les dents en céramique. Conçues dans le même matériau que les prothèses traditionnelles, la résine Valplast, ces nouvelles prothèses permettrait aux dentistes de gagner en temps et en précision tout en réduisant leurs coûts. Une bonne nouvelle pour leurs patients.

    Cette première étape semble annoncer une nouvelle ère de la dentisterie, aussi les rumeurs vont bon train quant à l’hypothétique introduction d’implants et de couronnes entièrement 3D printed. Mais qu’en pensent les dentistes ?

    Le monde de la dentisterie va-t-il vraiment changer grâce à l’impression 3D ?

    Évidemment les entreprises spécialisées dans la conception de machines et de consommables défendent leurs paroisses. Du coté des professionnels, les avis sont plus nuancés. C’est pourquoi nous avons rencontré le Docteur Donald Tingey, dentiste esthétique (DT Dental – Melbourne). Et il semble plutôt sceptique quant à l’avenir de l’impression 3D dentaire.

    Le Dr Don Tingey
    Le Dr Don Tingey

    L3D : Avant toute chose, pourquoi les implants dentaires traditionnels sont-ils si cher ?

    Dr D.T : Ce qui rend les implants si onéreux, c’est avant tout la R&D qui encadre cette industrie. En effet, le revêtement des implants relève d’une chimie particulièrement complexe. La plupart des laboratoires restent d’ailleurs assez discrets sur la composition des implants. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce revêtement doit tout d’abord parfaitement adhérer à la prothèse en titane mais également stimuler la régénération osseuse afin de créer une parfaite assimilation de l’implant dans la gencive.

    L3D : Avec la modélisation 3D n’allons pas vers une plus grande précision ?

    Dr D.T : Oui et non, encore une fois l’implantologie est plus complexe que le simple fraisage d’un bout de métal. Même si la modélisation peut aider, elle ne pourra jamais se substituer au travail sur mesure réalisé par les dentistes et les laboratoires spécialisés.

    L3D : Par conséquent, que pensez-vous de l’avenir de l’impression 3D dans votre domaine ?

    Dr D.T : L’utilisation de cette nouvelle technologie est plutôt confidentielle. Au-delà des nouvelles compétences auxquelles elle demanderait de se former (modélisation ; impression), elle n’apporte pas vraiment de plus à notre activité. Certes la rapidité d’exécution et la réduction des coûts semblent à l’avantage des patients, mais certaines choses demandent du temps et de la minutie, la dentisterie en fait partie. Moins cher et plus vite n’ont jamais rimés avec « meilleure qualité ». Aussi je pense que l’impression 3D n’a pas vraiment sa place dans l’implantologie, une spécialité déjà particulièrement aboutie.

    Vous l’aurez compris, le Dr Tingey n’est pas un fervent défenseur de l’impression 3D. Peut-être que les implants 3D printed trouveront mieux leur place dans la dentisterie vétérinaire…

    Exemple d'implant dentaire 3D printed sur un labrador
    Exemple d’implant dentaire 3D printed sur un labrador

    Enregistrer

    Docteur ès impressions 3D

    Prothèses, greffes et maintenant les médicaments. L’impression 3D est en phase de révolutionner la médecine.

    Depuis quelques mois déjà, les articles se multiplient sur le pas de géant réalisé grâce à l’impression 3D dans le domaine des prothèses. Moins chères, mieux adaptées voir même carrément design, il est maintenant possible de créer des prothèses de bras, de mains, de jambes et bien plus encore grâce aux imprimantes 3D.

    © William Root
    © William Root

    Et si les prothèses dentaires et autres plâtres imprimés sont déjà une réalité ayant intégrée le quotidien du corps médical, de récentes recherches nous laissent déjà entrevoir de nouvelles applications dans la création de tissus humains artificiels et d’organes.

    Mais depuis peu une autre petite révolution est en marche : la possibilité d’imprimer ses propres médicaments ! Et oui, vous avez bien lu ; il est fort à parier que dans les années à venir nos ordonnances se transforment en guide du petit chimiste High-Tech. Explications …

    2016 : L’impression 3D de médicaments devient possible

    Le laboratoire Aprecia va commercialiser dès cette année sur le marché américain un médicament permettant de traiter l’épilepsie utilisant la technologie d’impression 3D ZipDose. Le choix de l’impression 3D se justifie par son mode d’assemblage qui permet d’empiler de très fines couches de poudre et ainsi obtenir des comprimés à haute solubilité réduisant leur temps d’assimilation par l’organisme.

    Cette première intrusion de l’impression 3D dans le domaine pharmaceutique laisse présager un déploiement à plus grande échelle. Aussi certains experts prédisent déjà l’arrivée d’ordonnances contenant des formules permettant de fabriquer ses propres médicaments à domicile et à la demande.

    Néanmoins cela soulève déjà de nombreuses questions quant aux risques sanitaires (sur-dosage ; contrefaçon ; marché-noir etc.) et à l’encadrement à mettre en place pour permettre à tout à chacun de s’improviser apothicaire.

    Enregistrer