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    Piece jointe :


    Amazon vous livre encore plus vite grâce à l’impression 3D

    Le géant américain de la vente en ligne cherche constamment à optimiser ses délais de livraison pour satisfaire des acheteurs de plus en plus impatients. Après les drones autonomes, il se tourne aujourd’hui vers l’impression 3D.

    Vers une gestion de stock « On demand »

    Vous êtes-vous déjà demandé comment Amazon arrivait à vous livrer en seulement 24h ? Et bien tout simplement en disposant d’un grand nombre d’entrepôts repartis un peu partout sur le territoire. Le problème c’est que ces centres de stockages colossaux coûtent des fortunes. Aussi il semblerait évident que pour limiter les coûts il faudrait réduire au maximum les stocks.

    Et c’est là que l’introduction de l’impression 3D « on demand » prend tout son sens. En Février 2015, Amazon a donc déposé un brevet présentant son concept d’unités d’impressions mobiles, un nouveau service qui pourrait révolutionner nos modes de consommations.

    Des camions usines sur nos routes ?

    Le principe est de mettre sur les routes des camions équipés d’imprimantes 3D connectés qui pourraient produire et livrer votre commande en quelques heures. D’une pierre 2 coups.

    Au-delà de limiter le stockage, cette innovation offrirait également une plus grande réactivité. En effet, avec plusieurs milliers de mètres carrées à passer en revu pour trouver votre article, le délai de livraison est impacté tant par la recherche de votre référence dans le stock que par le transport de porte à porte. Ici, plus de recherche puisque votre commande est directement transmise au camion-usine qui, sur le chemin vers votre doux foyer, imprime votre gadget favori.

    Pour l’instant le projet n’est qu’au stade de brevet mais rien ne semble impossible à Amazon qui nous a déjà épatés il y a quelques semaines en mettant en place la livraison par drone.

    Une affaire à suivre de prêt ….

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    Transformez votre smartphone en imprimante 3D avec ONO

    On a longtemps pensé à un fake, mais c’est officiel. La première imprimante 3D fonctionnant avec l’écran de votre smartphone arrive sur le marché…

    ONO, l’imprimante 3D au concept innovant débarque. Oh Yes !

    Présentée pour la première fois à la Maker Faire de New York en 2015 (chopant au passage le World Maker Faire Editor’s Choice Award), l’imprimante 3D ONO (originellement baptisée OLO) en avait surpris plus d’un. Tant et si bien que bon nombre d’entre nous pensait à un fake qui ne verrait jamais le jour. En effet, le concept semblait trop beau pour être vrai.

    Mais après le succès de leur campagne Kickstarter (16 180 contributeurs tout de même), la production de la petite ONO est enfin lancée. Et ce malgré un retard dû au changement de nom (OLO ayant déjà été déposé par une autre entreprise).

    Avec un prix de vente annoncé d’environ 100 euros, ONO se positionne donc comme l’une des imprimantes 3D les moins chers du marché.

    Si vous êtes passé à côté de ce projet épatant, un petit rappel s’impose …

    L’impression 3D selon ONO : comment ça marche ?

    Oubliez les extrudeuses et autres filaments, ONO exploite une toute autre technologie pour réaliser vos modèles 3D : la photopolymérisation. Le principe est assez simple. En plaçant votre smartphone dans le boitier ONO contenant de la résine, ce dernier va utiliser la lumière blanche de votre écran pour venir solidifier la dite résine couche par couche donnant ainsi naissance à votre projet.

    En termes de résine ONO a développé pas moins de 8 couleurs. Du glossy, de l’opaque, du transparent, plus ou moins ferme, mais également une version « cire » pour vous permettre de créer des moules !

    L’autre avantage c’est que le boitier est compatible avec l’ensemble des smartphones. Et plus la résolution de votre écran sera élevée plus votre impression sera précise. Le tout pouvant être branché à une power bank pour trimballer votre imprimante et frimer devant vos amis.

    Cerise sur le gâteau : le réseau social ONO

    C’est vrai ça, au final à quoi peut bien service cette mini imprimante à babioles ? On risque de vite se lasser de fabriquer des jouets Kinder à longueur de journée.

    C’était sans compter sur l’idée brillante d’ONO d’intégrer à l’application servant à contrôler votre imprimante et à concevoir vos modèles, un réseau social vous permettant d’envoyer des « messages » à imprimer à vos amis #TOOCUTE.

    Bien que la production soit lancée, la commercialisation grand public n’est pas prévue avant août 2017. Le temps pour l’entreprise d’honorer les commandes Kickstarter. Vivement l’été.

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    La NASA se lance dans la production d’objets imprimés en 3D Made in Space !

    La première imprimante 3D pouvant fonctionner dans un environnement zéro gravité vient de faire son entrée dans la station spatiale internationale. Créée par l’entreprise Made In Space, nous vous expliquons pourquoi cette avancée technologique va révolutionner la vie des astronautes…

    En quoi imprimer en 3D dans l’espace serait différent de ce qui se passe sur notre bonne vieille planète ?

    La réponse est bien simple … La gravité pardi ! La fabrication additive (ou impression 3D pour les intimes) est soumise à la pesanteur. Cela permet aux différentes couches de se superposer sans dévier de leurs trajectoires tout en assurant leur adhérence.

    Autre problématique, les émanations produites par la fonte des fils plastiques. Tolérables dans un environnement maitrisé, elles le sont beaucoup moins au sein d’une station orbitale. Enfin la température, il semblerait que là-haut on n’aime pas trop les fortes chaleurs, sécurité oblige.

    En définitif, une imprimante 3D lambda n’est tout simplement pas adaptée à une utilisation spatiale.

    L'imprimante 3D Zero-Gravity. Crédit : Made in Space
    L’imprimante 3D Zero-Gravité. Crédit : Made in Space

    C’est pourquoi les ingénieurs de l’entreprise Made in Space ont mis au point une machine contournant ces problèmes. Après avoir testé leur imprimante lors de vols paraboliques, qui permettent de récréer des conditions de microgravité, ils ont proposés à la NASA de tester leur prototype le plus abouti. Résultat : les astronautes en sont fans !

    A quoi peut bien servir une imprimante 3D dans l’espace ?

    Sans grande surprise une station spatiale ça s’entretient. Le problème c’est qu’on ne sait jamais à l’avance ce qui va lâcher. C’est pourquoi la NASA, avec tout le bon sens qui la caractérise expédie des tonnes de pièces de rechanges, juste au cas où. Mais cela a un coût : 10 000 dollars par kilo pour être précis. Et ce n’est pas tout, ces pièces de rechanges doivent supporter le voyage, qui comme vous l’imaginez n’est pas de tout repos. En résulte un bon nombre de kilos supplémentaires, inutiles une fois sur place, pour s’assurer que tout cela arrive intact.

    L’impression 3D devient donc une évidence. Production à la demande, matériaux légers, moins de stock donc plus de place. Que des avantages. Et pour aller plus loin, la NASA et Made in Space planchent déjà sur la possibilité de fabriquer des satellites au sein de la station spatiale internationale, d’où ils pourraient ensuite être lancés. Bref de sacrées économies en perspectives et des activités divertissantes pour les astronautes.

    Passez vos commandes auprès de l’usine de l’espace !

    Cerise sur le gâteau, Made In Space prépare une seconde imprimante afin de produire depuis l’espace des objets pour les particuliers. Certes, cela s’adresse en priorité aux étudiants et aux chercheurs, mais dans l’absolu vous pourrez vous aussi avoir votre bibelot du cosmos …

    Devenez imbattable à Pokémon Go grâce à cette astuce …

    Le Designer australien Jon Cleaver vient en aide des dresseurs de Pokémons les moins habiles en créant une coque de portable imprimée en 3D qui vous permettra de tous les attraper !

    Avec l’arrivée de Pokémon Go dans l’hexagone le weekend dernier, la chasse aux monstres de poches bat son plein. Bien que l’on rapporte d’ores et déjà bon nombre de bugs et d’incidents divers cela ne décourage pas les dresseurs en herbe qui se retrouvent néanmoins face à un problème de taille : la rupture de son stock de Pokéballs.

    Et oui, bien que Pokémon Go soit un freemium (un jeu gratuit avec achats intégrés), il faut débourser quelques euros ci et là si l’on souhaite poursuivre sa quête. Et généralement les poképièces sont dilapidées dans l’achat de Pokéballs, certes indispensables, mais qui aurait pu être économisées grâce à une astuce toute simple.

    N’est pas dresseur de Pokémons qui veut !

    Pour ne pas gâcher inutilement ses Pokéballs, il faut bien viser. Ça a l’air simple dit comme ça, mais encore faut-il faire preuve d’un minimum de dextérité. Mais le calvaire des plus maladroits sera bientôt du passé grâce à l’ingénieuse création du designer australien Jon Cleaver.

    En effet, ce jeune designer industriel vient de mettre gratuitement à disposition (sur My Mini Factory) le modèle 3D d’une coque permettant de faire des lancers parfaits afin de ne rater aucune bestiole !

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    Crédit : My Mini Factory / Jon Cleaver

    Bientôt vous serez le meilleur dresseur …

    A l’instar des bumpers de bowling, cette coque permettra à votre doigt de rester « dans les rails » et ainsi d’atteindre votre cible sans effort ni dérapage.

    Jon Cleaver propose également la vente de ces coques sur sa boutique Etsy pour ceux qui ne disposeraient pas d’imprimante 3D. Mais victime de son succès il vient d’interrompre les commandes afin d’assurer leur production.

    Bien que cette coque ne soit actuellement disponible que pour l’Iphone 6, le designer promet de se pencher sur d’autres modèles afin de satisfaire tous les détenteurs de smartphones.

    Pour les moins patients d’entre vous, il est également possible de passer par des services comme Click’n 3D ou 3D Hubs afin de faire imprimer votre coque personnalisée.

    Sur ce, bonne chasse à tous !

    Crédit photo : Syaheir Azizan / Shutterstock.com

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    Impression 3D et industrie automobile, une affaire qui roule …

    La voiture de demain sera électrique, c’est certain. Mais il est également fort probable qu’elle soit produite par des imprimantes 3D. Le futur est déjà en marche…

    Comme nous avons pu être naïf de croire que l’impression 3D et l’automobile ne se rencontreraient qu’en de rares occasions, pour produire des pièces détachées, quand on voit que les premiers véhicules intégralement imprimés sont déjà en passe d’être mis sur le marché. Définitivement, une nouvelle révolution industrielle est en marche..

    L’impression 3D et l’art du « Think Big ! »

    Nous l’avions évoqué précédemment, l’impression 3D permet d’ores et déjà de réduire drastiquement les stocks de pièces détachés des industriels, automobile inclus.

    On sait d’ailleurs que le célèbre présentateur américain Jay Leno, grand amateur d’automobile, utilise depuis 2008 l’impression 3D pour produire des pièces de rechanges pour ses véhicules de collection. Pour ce faire il dispose d’un scanner et d’une imprimante 3D métal de chez Stratasys, ce qui a son importance, mais nous y reviendrons plus tard.

    jayleno

    Ce n’est donc pas pour rien que fin 2015 il fut choisi pour tester la première voiture quasi intégralement réalisée par impression 3D : la Strati de Local Motors.

    Avec la Strati, Local Motors avait prouvé dès 2014, lors de l’International Manufacturing Technology Show (IMTS) de Chicago, que l’avenir de la production automobile passerait par l’impression 3D. En effet, comme le souligne le dirigeant de cette entreprise basée à Phoenix, John B. Rogers, Jr, cela fait plus de 100 ans que l’industrie automobile produit les voitures de la même façon. Une nouvelle révolution industrielle s’imposait.

    Vers la production de véhicules ON DEMAND

    En démontrant la performance de l’impression 3D dans un monde régis par des chaines de productions lourdes et couteuses, Local Motors en a fait rêver plus d’un avec sa voiture produite en seulement 44 heures et pesant moitié moins lourd qu’une voiture traditionnelle.

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    Cette première concrétisation de la voiture « 3D printed » nous laisse plus qu’enthousiaste quant à l’évolution de l’industrie automobile dans son ensemble.

    Grâce à l’impression 3D, les marques pourront bénéficier d’une production moins lourde en terme d’équipement et de stockage mais également moins polluante. De plus, en produisant les modèles à la demande, on imagine qu’elles pourront prendre plus de risques en terme de design sans craindre l’échec commercial et ainsi renouveler leurs gammes plus fréquemment. Et tout cela en diminuant les coûts.

    On comprend mieux pourquoi des professionnels de l’impression 3D comme Stratasys mise beaucoup sur le secteur automobile, comme on peut le découvrir sur le site internet de la marque.

    Vers l’infini et au-delà

    Mais ce n’est pas fini ! Local Motors va encore plus loin aujourd’hui en nous présentant Olli, un véhicule imprimé en 3D totalement autonome. La marque cherche aujourd’hui à réinventer le transport urbain grâce à ce minibus sans chauffeur qui pourra, grâce à son intelligence artificiel made in IBM venir vous chercher au coin de la rue en mode Uber. Les premiers tests vont prendre place à Washington DC, puis à Miami, deux villes connus pour leurs embouteillages monstres.

    Des machines qui fabriquent des machines qui pensent toutes seules, la science-fiction n’aura bientôt plus lieu d’être avec Local Motors …

    Le SAV prend une toute nouvelle dimension avec Happy 3D by Boulanger

    Halte à l’obsolescence programmée ! Grâce à sa nouvelle plateforme Happy 3D, Boulanger compte bien faire évoluer les mentalités.

    Spécialiste de l’électroménager bien connu dans l’hexagone, Boulanger vient de lancer une plateforme collaborative permettant d’accéder aux modèles 3D des pièces détachées de 135 références de ses marques essentielb et Listo.

    Pourquoi changer quand on peut réparer ?

    Il est vrai que la démarche est d’autant plus louable quand on sait que le fonds de commerce d’enseignes comme Boulanger est de vous pousser à renouveler votre équipement dès votre garantie expirée. Mais c’est quand même rageant de devoir s’offrir un nouveau frigo pour la simple raison que sa poignée a rendu l’âme. Et ça, Boulanger l’a bien compris. En parcourant les FAQ d’Happy 3D on nous indique d’ailleurs que ces solutions DIY sont là pour « sauver la vie » de votre équipement qu’à partir du moment où vous ne pouvez plus compter sur votre garantie et donc sur le SAV traditionnel.

    Que peut-on attendre de cette plateforme ?

    Happy 3D est en fait une version marque blanche de la plateforme bien connue des amateurs d’impression 3D, Cults, qui permet aux membres de sa communauté d’acheter, de vendre ou de télécharger gratuitement des modèles 3D pour à peu près tout et n’importe quoi.

    La version de Boulanger, qui elle est entièrement gratuite, vous permet donc de récupérer les modèles uploadés par l’enseigne mais également de proposer vos propres réalisations.

    A vous la trappe de piles pour télécommande qui n’arrête pas de se faire la malle, les boutons de thermostats et autres bac à œufs !

    La révolution est en marche !

    Il est fort à parier que ce type de projet fera des émules et que d’autres marques mettrons bientôt à disposition des modèles 3D sur leurs propres sites ou bien même sur Happy 3D. Dans le cas contraire, c’est un sacré coup de projecteur pour les marques essentielb et Listo. En effet, sachant que vous pourrez réparer vous-même votre équipement si vous opter pour la marque distributeur, il est fort à parier que bon nombre de bricoleurs préférons ces « petites marques » aux grands noms lors de leur prochain passage chez Boulanger. Au final, ce côté eco-responsable est également un très bon moyen de booster la côte de ses poulains. D’une pierre deux coups !

    Et pour ceux qui ne disposeraient pas de leur propre imprimante 3D, la plateforme vous propose de passer par 3dhubs, un site de mise en relation entre détenteurs d’imprimantes 3D et porteurs de projets (à l’instar de Clotoo). Ou bien vous pouvez également acheter votre imprimante chez Boulanger qui sera ravie de vous proposer en supplément une formation à son utilisation via son service Bdom. La boucle est bouclée !

    Mini moi maxi fun !

    Si vous aussi vous avez un maxi ego ou si vous souhaitez vous faire un mini kif, les minis-moi sont faits pour vous !

    En manque d’inspiration pour la fête des mères ? Pourquoi ne pas offrir à votre gentille matrice ovarienne une sympathique figurine de votre charmante personne ? Fini les « tu ne viens jamais me voir », « tu tires tout le temps la tronche aux repas de famille » et autres remarques typiquement maternelles. Avec un mini-vous exposé en permanence sur sa table de chevet, c’est à peine si elle remarquera votre absence.

    Mais c’est quoi les minis-moi ? Mini explication …

    Fruit de l’imagination débordante de Digiteyezer, une société spécialisée dans la création de scanners 3D, le projet Bobbleshop (mini-moi pour les intimes) est né d’un constat fort simple : l’engouement pour les scanners et imprimantes 3D est là, mais pas les modèles économiques rentables permettant de les exploiter.

    C’est ainsi qu’ils ont eu l’idée de proposer un concept simple et sympa utilisant ces nouvelles technologies : The Bobbleshop.

    Comment ça marche ?

    The Bobbleshop permet donc de réaliser de petites figurines (de 6 à 12 cm) à votre effigie. Pour ce faire il vous faudra scanner votre doux minois avec le BobbleBoth puis choisir au sein d’un catalogue de 250 références votre petit corps. Le tout est ensuite envoyé pour impression (en résine) et vous recevez votre figurine chez vous sous 15 jours.

    Je veux un mini-moi !

    Des Bobbleshop ouvrent un peu partout en France. Retrouvez la liste complète sur le site de la marque.

    Vous pouvez aussi les retrouver sur le stand du spécialiste de l’impression 3D, Click’n 3D. Il se déplace un peu partout en France pour des salons consacrés à l’impression 3D et autres geekeries. Suivez leur actualité pour savoir quand vous pourrez enfin dépenser ces 20€ qui vous brûlent les doigts. Et enfin vous offrir votre mini-kif !

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    Allo quoi ! T’es une fille t’imprimes pas ton fond de teint ?

    La révolution make-up est en marche, Adorn vient de créer la première imprimante à fond de teint pour un maquillage sur-mesure et zéro défaut. C’est beau la technologie.

    En hiver je suis pâle, en été je suis bronzée et parfois je suis rouge ou verte … Bref je suis une fille pleine de  couleurs. Mais résultat il faut continuellement que je rachète du fond teint, avec plus ou moins de succès. Parfois je suis orange… Mais ça ce n’était pas volontaire.

    Mais ce calvaire sera bientôt loin derrière moi avec Adorn, la première imprimante 3D capable de vous concocter en un clin d’œil le fond de teint idéal.

    Comment ça marche ?

    Tout d’abord, Adorn, ce n’est pas qu’une imprimante 3D révolutionnaire, c’est un véritable petit bijou de technologie qui comporte également un capteur capable de déterminer avec précision votre carnation.

    Une fois cette première étape réalisée, Adorn va être en mesure de réaliser la mixture parfaite en mélangeant les pigments embarqués dans la machine. Machine qui soit dit en passant tient dans le creux de la main.

    Arrive enfin l’étape de l’impression à proprement parler. La petite machine sans fil vous délivre alors la quantité idéale de fond teint pour recouvrir votre charmant minois. Pas de gâchis et une teinte qui s’adapte chaque jour : que demande le peuple !

    Le véritable plus c’est qu’Adorn s’adapte VRAIMENT à toutes les peaux : noires, blanches, caramels pas de laissées pour compte !

    Cette petite merveille est disponible en pré-commande sur le site de la marque pour environ 125€. Et les recharges à environ 18€. Ce qui est vraiment très raisonnable.

    Vous l’aurez compris, les filles de Click’n 3D trépignent d’impatience à l’idée de tester ce gadget sortis tout droit du cinquième élément.