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    Piece jointe :


    Les diamants sont éternels… La modélisation 3D aussi !

    L’Angleterre prend une longueur d’avance sur l’impression 3D de bijoux et c’est toute une industrie qui se retrouve bouleversée.

    Le projet Precious a pour objectif de moderniser la joaillerie Britannique. Fruit de la collaboration de plusieurs entreprises dont le créateur de logiciel Delcam, le grossiste en métaux précieux Cooksongold, l’université de Birmingham et le designer Lionel T Dean, ce consortium cherche à combiner leur expertise de l’industrie de la joaillerie afin de stimuler la croissance de ce secteur ronronnant.

    Avec la première collection issue du projet Precious, Lionel T Dean souhaite démontrer le potentiel de l’impression 3D dans la création de bijoux. Selon lui, l’impression 3D permet de réaliser des pièces jusqu’alors inenvisageables avec les techniques de production traditionnelles.

    Il faut néanmoins rappeler que l’impression 3D avait déjà été utilisée dans ce domaine afin de réaliser des moules en cire. Là où Dean innove, c’est en proposant d’imprimer directement, en or 18 carat, le produit fini.

    Quid de la collection Precious ?

    Au-delà des classiques bracelets et bagues, Dean propose de personnaliser vos bijoux en y intégrants vos propres reliques, démodées ou abimées, et de les intégrer à des designs plus contemporains afin de créer une pièce précieuse dans tous les sens du terme.

    Et justement, cette notion de valeur sentimentale est elle aussi en train de prendre une toute nouvelle dimension.

    Quand les assurances s’en mêlent…

    Au-delà du projet Precious, certains membres du consortium se sont également penchés sur l’intérêt de l’impression 3D pour remplacer des bijoux volés, perdus etc.

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    C’est donc le service que va proposer les assurances SBS associées au projet. Elles garantissent que cette alternative apportera une grande satisfaction aux assurées qui pourront obtenir une réplique identique à l’originale sans avoir les contraintes habituelles, à savoir reproduire le bijou de A à Z par le fabricant d’origine qui, si le produit est ancien, doit récréer le moule d’après des dessins ce qui implique des coûts, des délais, et surtout de légères différences avec l’original. Et tout cela en réalisant une économie de 30 à 50% sur leurs polices d’assurances.

    Comme quoi l’impression 3D est bien en phase de bouleverser notre quotidien.

    J’adore cette chanson !!! Je m’en ferais bien un vase …

    Définitivement, l’impression 3D est une source inépuisable d’inspiration pour les artistes. Avec le projet « Solid Vibration » la musique va prendre une toute nouvelle dimension.

    Les néerlandais du studio Van Broekhoven ne cesseront de nous étonner. Ce Sound Shape Lab, comme ils se définissent, développe depuis plusieurs années des projets artistiques où se mêlent design, architecture et musique.

    SOUNDSHAPES © Studio Van Broekhoven
    SOUNDSHAPES © Studio Van Broekhoven

    Déjà séduit par leur précédent projet « SOUNDSHAPES » qui donnait corps aux ondes sonores en mettant en résonance du sel sur une plaque en métal, le studio revient cette fois-ci avec un nouveau concept « SOLID VIBRATION »

    Le concept SOLID VIBRATION en quelques mots

    Né de la collaboration entre Ricky Van Broekhoven et le designer Olivier van Herpt, ce projet combine les créations sonores du premier et l’imprimante à céramique du deuxième. L’idée : produire des objets en influençant le processus d’impression avec des ondes sonores.

    SOLID VIBRATION © Studio Van Broekhoven
    SOLID VIBRATION © Studio Van Broekhoven

    On pourrait imaginer que l’imprimante reproduise les ondes sonores en se basant sur un algorithme sophistiqué qui permettrait alors de définir un modèle 3D … Il n’en est rien !

    En effet, le studio Van Broekhoven a plus simplement décidé de placer un haut-parleur de leur création (le SOUNDSHAPE SPEAKER) sous la plaque d’impression de l’imprimante 3D. Une fois l’extrudeuse à céramique activée, la plaque vibre et là, ô miracle, un motif se crée.

    A mi-chemin entre la vannerie et la poterie, le résultat n’en est pas moins esthétique et étonnant. On imagine bien que la séquence sonore est judicieusement choisie et que ce n’est pas avec le dernier album de Maître Gims que l’on pourrait obtenir de si beaux objets.

    Ceci étant dit le résultat est bluffant et on espère que ce concept à base de pot pot pot pot saura inspirer d’autres concepteurs d’imprimantes 3D.

    Terminé la bagarre lors du montage des meubles, Drawn vous les imprime

    Drawn est une startup française qui a choisi de se positionner sur l’impression 3D de mobilier et d’objets déco.

    L’équipe directrice est atypique, puisqu’elle est composée de Sylvain Charpiot, ingénieur et entrepreneur, et Galatéa…un robot (ou plutôt une imprimante 3D grand format imaginée par Sylvain).

    Drawn collabore avec ses clients à différentes phases du projet, sachant qu’ils peuvent intervenir très en amont dans le cas où vous arriveriez avec une simple idée de ce que vous voulez. Trois services sont aujourd’hui mis en avant : les créations de la maison à travers leur propre e-shop , les projets d’architectures d’intérieurs, plutôt orientés professionnels, et le mobilier éphémère, qui sont surtout des objets décoratifs à courte durée de vie et entièrement recyclable.

    Les objets et meubles proposés à la vente sont tout à fait abordables. 59 € pour une table d’appoint, 240 € pour une assise, moins de 100 € pour un casier à bouteilles, ou encore divers vases entre 30 € et 60 €, une jolie alternative à IKEA non ?

    Pour les projets sur mesure, il faudra rencontrer l’équipe de Drawn et faire connaissance de Galatéa, joli bébé de 2.55 mètres et 2 tonnes qui à aujourd’hui 2 ans, et qui a une petite soeur KUKA depuis février 2016. Son nom lui vient d’une sculpture d’ivoire dont Pygmalion, sculpteur de la mythologie grecque, est tombé amoureux au point de demander à la déesse de l’Amour, Aphrodite, de lui donner vie pour en faire sa femme. La personnification ne s’arrête pas là , puisqu’en plus d’avoir une adresse mail, on nous assure qu’elle répond au téléphone.

    Si le binôme homme/machine (sans vouloir vexer Melle Galatéa),  est présenté avec un certain second degré sur le site, la startup a su depuis sa création s’entourer de designers chevronnées et créatifs dont Christian Ghion, Florent Lasbleiz, Alexandre Moronnoz, Adrian Blanc, Samuel Javelle, Emilie Bette, Guillaume Campos…

    Pour plus d’informations nous vous invitons à consulter les quelques vidéos présentent dans cet article, ou à visiter le site www.drawn.fr

    DXV enchante vos salles de bains

    Nouvelle preuve que l’impression 3D permet de sortir des sentiers battus en matière de design, aujourd’hui ce sont les robinets qui prennent une nouvelle dimension.

    Quoi de plus banal qu’un robinet me diriez-vous ? Certes on peut en trouver de très décoratifs dans les magasins de bricolage. Mais rien de particulièrement transcendant. C’était sans compter sur les designers d’American Standard, une marque spécialisée dans la robinetterie, qui à travers leur marque haut de gamme DXV ont lancés une toute nouvelle collection de robinets imprimés en 3D.

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    Crédit photo : American Standard

    Pour ce lancement, la marque propose 3 modèles plus innovants les uns que les autres. D’après les concepteurs « deux des modèles réinventent la façon dont l’eau est acheminée, quant au troisième il offre une expérience sensorielle inédite ». Il faut bien admettre que la vue de ces robinets soulève bien des interrogations

    Par où passe l’eau ?

    Pour ce qui est des 2 premiers modèles, de fins canaux au sein de la structure acheminent l’eau au sommet du robinet où ils convergent vers l’aérateur. Cette conception unique en alliage haute résistance donne l’illusion que l’eau sort comme par magie.

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    Crédit photo : American Standard

    Avec le troisième modèle, les concepteurs ont cherchés à évoquer de façon poétique une onde rebondissant sur le lit d’un ruisseau. Pour ce faire ils ont eu recours à la technologie CFD (Computational Fluid Dynamic) afin d’harmoniser les 19 flux émanant du robinet.

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    Crédit photo : American Standard

    Et comment c’est fait ?

    Pour réaliser cette collection, DXV a utilisé le frittage sélectif au laser (SLS). Comme c’est un peu compliqué à expliquer, je vous laisser visionner une petite vidéo bien plus parlante. Ce qu’il faut retenir c’est que le produit fabriqué ressort en un seul bloc, sous 24 heures, et ne nécessite donc aucun assemblage.

    Une fois imprimés, les robinets sont dépolis à la main pour un rendu plus brut. Et oui, à la sortie de l’impression le produit est tellement impeccable qu’il faut simuler l’effet brut de décoffrage … Ironie quand tu nous tient.

    J’achète !

    En plus d’être beaux ces robinets ont reçus le label WaterSense®. Ce qui témoigne de leur capacité à limiter le gaspillage de notre précieuse eau.

    Nous sommes donc arrivés à un stade où les produits industrialisés utilisant l’impression 3D sont disponibles au commun des mortels. Il faudra quand même débourser entre 12 000 et 20 000 dollars pour s’offrir ces petites merveilles.

    A ce prix-là, ils ont sacrément intérêt à vous faire faire des économies sur votre facture CGE.

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