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    Avec Ghost in the Shell, l’impression 3D fait son cinéma

    04 avril 2017

    L’adaptation live du manga Ghost in the Shell est sortie sur grand écran le 29 mars dernier. Bien que controversé, en particulier sur le choix de Scarlett Johansson dans le rôle principal, le film est esthétiquement remarquable.

    Mais quel rapport avec l’impression 3D me diriez-vous ? Et bien de plus en plus d’accessoiristes y recourent. Que ce soit sur les tournages d’Iron man ou de Star Wars : Le Réveil de la Force, la fabrication additive est devenue un incontournable pour les studios hollywoodiens.

    Et Ghost in the Shell ne déroge pas à la règle.

    Dans les coulisses du blockbuster de Rupert Sanders

    A l’heure où l’on pensait que les effets spéciaux numériques allaient sonner le glas des techniques traditionnelles, l’impression 3D offre de nouvelles solutions pour donner vie aux accessoires les plus extravagants.

    Pour son film, le réalisateur Rupert Sander souhaitait donner « corps » aux éléments les plus visuellement impactant du manga et plus particulièrement au corps robotique du Major.

    Pour ce faire, il a fait appel aux Néo-zélandais du studio Weta, véritables spécialistes des effets spéciaux traditionnels. Ce même studio s’était déjà illustré sur les sets d’Avatar, Mad Max : Fury Road et plus récemment sur le très discutable Warcraft.

    Pour ce projet, en plus du corps mécanique de Scarlett Johansson, ils ont également conçus la combinaison Thermoptique du Major, des Geishas Androïdes animatroniques et différentes armes futuristes.

    Un véritable travail d’orfèvres

    Des centaines d’heures et plusieurs semaines de travail ont été nécessaires pour réaliser le corps robotique du Major.

    L’équipe de Weta a tout d’abord réalisé un scan 3D du corps de Scarlett Johansson (les petits chanceux) et ont ensuite imprimées des centaines d’éléments en ayant recours à différentes techniques d’impression 3D. La stéréolithographie pour des impressions en résine noire et transparente, le frittage sélectif par laser pour les poumons en nylon et l’impression 3D métal pour les articulations et les armatures.

    Une fois l’assemblage et les finitions terminées, une série de test caméra ont été effectués pour voir comment l’ensemble rendait à l’image.

    Et il faut bien reconnaitre que même si ce film de rentrera pas dans les annales du cinéma, son esthétique et le soin apporté aux accessoires valent à eux seuls le détour.